Un aspect d’ancien mais pas délabrée, elle attire l’œil de tout ceux qui passent devant.
La mer était fraîche ce jour-là, pas vraiment idéale pour se baigner.
Alors nous nous sommes promenés.
Jusqu’au quasi couchant le ciel était resté voilé.
Silhouettes sur la plage, mouvement et ressac.
Le lendemain du gris, partout, sauf sur les coques des côtiers et des hauturiers qui se croisaient à l’entrée du port.
La débarque, spectacle quotidien, les jours de semaine, quand il n’a pas fait trop mauvais en mer.
Le ballet des arrivées et des départs est bien rodé.
Un regard croisé dans le gros œil de l’appareil me sourit.
Et pendant ce temps les chariots chargés défilent.
Quand vient le soir, nouvelles silhouettes sur la plage, d’autres occasions, d’autres regards…