Ce serait drôle, tout de même, que la nature s’abstînt d’être gaie pour ne pas contraster avec notre tristesse !
Jules , Journal 1893 - 1898
C’est un peu ce que je ressens dans cet endroit où, presque à chaque fois, c’était dans les derniers moments joyeux des vacances. Il y règne une sorte de mélancolie douce, presque apaisante s’il n’y avait l’urgence de profiter encore des derniers instants.
Alors que là j’ai toujours trouvé de quoi me ressourcer, retrouver une bonne humeur, l’envie d’aller et de retourner, de faire des projets.
Quelques pas, quelques heures plus tard vous goûtez le calme dans une solitude pourtant bruyante, le léger ressac vous concentre sur la sensation d’avoir les pieds sur la terre ferme, au bord du quai.
Il y a toujours une lumière, quelque part, qui reflète, qui guide et c’est bien ainsi.