Vol de nuit m’évoque invariablement Saint-Exupéry et tous les pionniers de la Postale, la Cordillère des Andes. Souvenirs de lectures d’enfance et d’adolescence.
[ source : L’adresse IP ]
C’est un de mes regrets avec le p’tit bonhomme, ne pas avoir su lui transmettre le goût de la lecture et ce n’est pourtant pas faute de lui en avoir lu, des pages et des pages. Dommage parce que c’est une source inépuisable d’inspiration.
1 De catherine -
Y'a encore le temps !
Il peut s'y mettre demain ou après-demain
2 De Sacrip'Anne -
Tu lui transmets des choses dont il a, pour le moment, plus besoin. Et puis qui sait, ça viendra peut-être plus tard ?
3 De Nicolas -
Ce n'est pas facile de transmettre l'envie de lire. De plus le fait de lire une histoire à tout moment de la journée et plus particulièrement le soir pour les enfants jeunes est un plaisir incommensurable mais qui ne participe pas dans l'envie de lire soit même pour l'enfant.
Le choix des premiers livres à toute son importance. Ma fille n'était pas hyper motivé et un livre a été le déclic. Maintenant elle dévore, comme son frère. Au début, peu importe la taille du livre. Il faut trouver des histoires sympas. L'important c'est de lire et d'y trouver du plaisir.
Après comme dit Anne, ça viendra sûrement plus tard.
4 De Franck -
Euh, plus tard, comment dire, avec un gamin qui va vers ses 16 ans, je crois que c'est un peu foiré pour le coup…
5 De catherine -
Je ne pense pas. Il faut juste le déclic.
Et ça, c'est comme la photo, ça peut venir à tout âge.
Certains livres font peur. Parce que ce sont des classiques. Et on peut contourner le livre par la vidéo ou la bd. Pour y revenir ensuite.
Mais qu'est-ce que je fais encore là ?
6 De Sacrip'Anne -
Tsé, mon frère il s'y est mis en fin d'adolescence. Je ne veux pas dire que c'est une généralité, mais ça arrive (c'est parfois une question de rencontre, avec une personne ou un bouquin).
Quoi qu'il en soit, au pire on tentera avec Lomalarchovitch pour compenser. Ca me casserait les pieds qu'il n'aime pas St Ex, tiens !
7 De Nicolas -
Moi je m'y suis mis à la fac. Comme dit catherine, il faut le déclic : un livre que tu lis d'une traite, dont tu ne peux détourner les yeux avant la fin. Je ne me rappelle plus précisément quel livre m'a fait ça mais je suis arrivé le lendemain matin en cours avec des allumettes pour tenir les paupières ouvertes !!!