Aujourd'hui un air en tête

Y’a pas. Y’as pas moyen de m’ôter cet air de la tête. Depuis que j’ai lu le billet du matin chez l’ami obni, pas moyen de faire fredonner autre chose à mes neurones ! Alors je me suis dit qu’il n’y avait pas de raison que je sois le seul dans ce cas là et je vous invite vous aussi à vous remplir la tête de cette petite fredaine lancinante et légèrement nostalgique du « Petit bal perdu » de Bourvil[1].

Note

[1] 1961 : C’était bien, plus connue sous le nom apocryphe du Petit bal perdu, paroles de Robert Nyel et musique de Gaby Verlor.

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