Une paire de lunettes rouges, à la terrasse d’un café
Sous l’œil perçant de ce chat-sphynx allongé au pied de l’arbre
Les volets exposés sont fermés, la lumière brûle.
Les multiples pots recyclés aux divers usages sont alignés
Dehors des tâches colorées ploient sous la brise, légère
Le passage est ouvert, tout le temps, le portillon n’est là que pour rien
Le chat, maître chez lui, veille et guette les bruits courants.