Un poiloux, pas pouilleux et peu poilu se pavanait dans sa prétentieuse pollueuse pipaillant un pétard. Puis, pétaradant, passa près, un poil trop près du pilote à pétrolette qui passait par là. Poissard fut-il de perturber le parcours du prétendant au passage premier. En pétard et pas poliment, le pilote pesta et protesta du pied et de la parole. Point n’y fit, le perturbateur passa prestement et pila peu après au panneau stop.
Le pilote, posa pied à terre et parti auprès du pédant perdant passablement patience qui aussitôt parti pneus hurlants. Pin-pon pimponnèrent les pandores qui passaient par là. Papiers ! PV et protestations pleuvèrent dru. Papillons et permis vérifiés sous l’œil plaisant des passants pressés et promeneurs patients. Les policiers parlèrent pendant que les présents prêtaient l’oreille. Propicement point de points perdus sur les permis.
Petit point du jour parisien.
1 De Bernard -
Paru par F. Paul : ce papier pas pipeau ;-)
2 De Franck -
Parfaitement :-)
3 De mirovinben -
Ça en fait des “P”… Pets, paix…
4 De Pep -
Put* ! Que de postillons à la lecture de cette prose !
:-D
5 De Franck -
Tiens, une lingette pour ton écran Pep :-)
6 De Gilsoub -
Hihi, génial :-)
7 De lipki -
Ça pond de la prose, sans penser au passant qui, pour le coup, prenne le plie et se retrouve à parler en p.
De quoi pester contre le patron.
8 De Franck -
Épatant, potentiellement poilant, pittoresque et probablement populaire :-)