La pâte légèrement madrée et couleur sable en les sortant du four, je pensais les avoir trop fait cuire. Il n’en était rien, alors on en a mangé, plein.
Je me suis servi des moules à maamouls offerts par la chasseuse de vagues, pour leur donner un aspect plus fini
et j’en ai profité pour les faire plus petits et de différentes formes, comme il est d’usage d’ailleurs, normalement en fonction de la farce qu’ils contiennent. D’ailleurs chaque moule devrait aussi être utilisé en fonction du contenu, l’oblong pour ceux aux dattes, le petit rond pour les amandes, l’autre rond profond pour les noix, etc.
La recette originelle — pour peu qu’il y en ait une, comme pour toutes les recettes orientales ou méditerranéenne, partout pareilles mais différentes — se fait à base de semoule et uniquement à la période de Pâques. Je les ai toujours connus fabriqués avec de la farine blanche, quand j’étais petit, et je les préfère ainsi et toute l’année[1] !
Ils se nomment maamouls au Liban, ménénas en Égypte et peut-être encore autrement ailleurs, allez savoir…