Pas de quoi faire le rodomont pourtant. Bref, il n’est venu que le temps de se plaindre, de critiquer, voire même d’insulter et prétendre bien évidemment tout le contraire. Ça m’aura amusé quelques heures, le temps qu’on décide que la fête était finie et de l’ignorer tout autant qu’il est.
Je trouve étrange ce genre de personnage qui viennent exiger face à des gens qui offrent leurs temps et savoirs pour mettre à disposition des choses qu’ils seraient bien en peine de concevoir. De plus, je trouve encore plus étranges ceux qui insistent et reviennent ad nauseam depuis des lustres refaire les mêmes remarques acides sans avoir le courage de se tourner ailleurs.
Parce qu’on a beau être certain d’avoir un superbe outil, autant nous sommes tout autant certains qu’il en existe pléthore ailleurs.
Je me souviens tout d’un coup d’une lecture sur la manipulation et ses principes et ce passage sur l’arrêt de bus. Attendre un hypothétique dernier bus, peut-être déjà passé, ou partir à pied ou en stop ? Là c’est idem, comme la plupart ils s’enferrent dans l’acquis et rechignent à toute autre solution… Pour ne pas (se) remettre en cause et admettre qu’ils ont peut-être fait le mauvais choix.
Nous nous persuadons quelquefois nos propres mensonges pour n’en avoir pas le démenti, et nous nous trompons nous-mêmes pour tromper les autres.
, Réflexions et Maximes
1 De Sacrip'Anne -
Soupir. J'ai de magnifiques "clients internes" comme ça qui sonnent comme dans ton billet. Quand en plus ils sont un peu pervers manipulateurs sur les bords...
Allons respirer l'air où il est moins toxique !
2 De Gilsoub -
Ne dit-on pas que la critique est facile mais l'art
c'est du cochondifficile...3 De lilou la teigne -
Pour certain il est plus facile de hurler que de faire......alors laisses le hurler à la fin il n'aura plus de voix ou de clavier au choix.