Pas de patricotages particuliers dans cette discussion à laquelle je participe ce matin, les tenants et aboutissants étant trop visiblement démontrables, mais c’est assez amusant de constater les manœuvres des uns et des autres pour obtenir gain de cause dans la négociation
, en lisant entre les lignes.
Il est important, je crois, de savoir poser des limites, même si elles sont susceptibles d’évoluer par la suite, au périmètre d’usage d’un outil. Il est évident que tous les cas d’emploi ne peuvent être répertoriés et encore moins pris en compte. D’un autre côté vient peser dans la balance l’envie, en tout cas la mienne, de proposer des solutions aux problèmes et besoins exposés.
C’est là je pense que l’expérience entre en jeu et qu’il devient plus facile (tout est relatif, bien sûr), de déterminer si l’adaptation (complète ou partielle) de l’outil doit être faite ou si finalement ce n’est plus son rôle, plus dans son périmètre, même si ce dernier peut être évolutif.
On peut aussi, mais c’est un autre débat, se poser la question de savoir si le besoin qui impliquerait ce changement est légitime, c’est à dire pas solvable par un autre moyen. Ce qui reviendrait à régler le problème puisque celui-ci n’existerait plus.
Indirectement ça me fait revenir en mémoire cette fameuse devise des shadoks :
S’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème.
Qui est une manière très saine, je trouve, de ne pas s’encombrer l’esprit avec des questions sans réponses…
Illustrations de Jacques Rouxel, créateur des Shadoks.
1 De Bernard -
Suivant la seconde maxime des Shadoks:
Salut !
;-)
2 De Sacrip'Anne -
Chouette des Shadoks !
3 De Bernard -
Avertissement préalable :
Ceux-ci ne sont ni des canards, ni des cigognes !