Eh bien je préfère la version interprétée par l’homme à tête de chou, un point c’est tout.
Sinon, en parlant de coiffeur et par ricochet de lecture improbable faite en attendant son tour, j’ai, à la faveur d’une mention lue quelque part — j’avoue ne plus trop savoir où, mais ça n’a pas beaucoup d’importance — commencé la lecture de « Mes pontons, Souvenirs d’une captivité de neuf années en Angleterre », de Louis Garneray, disponible sur Wikisource.
Que l’on se figure une génération de morts sortant un moment de leurs tombes, les yeux caves, le teint hâve et terreux, le dos voûté, la barbe inculte, à peine recouverts de haillons jaunes en lambeaux, le corps d’une maigreur effrayante, et l’on n’aura encore qu’une idée bien affaiblie et bien incomplète de l’aspect que présentaient mes compagnons d’infortune.
Louis , Mes pontons
Fascinant, très instructif et souvent étonnant…
1 De stylin -
Je pense à la fille du Calife
De la mille et deuxième nuit
Et je sens la pointe d’un canif
Me percer le cœur je luis dis
“Petite j’te sors ce soir ok”
J’adore cette chanson de Gainsbourg :D
J’ai supprimé le lien vers le site web, la bande sonore à fond à l’affichage, c’est juste pas possible — Franck.