Y’avait Kozlika, Gilda, Llu, Gilsoub, Le Roncier, Gaby, Mel’O’Dye, michelv, Têtue, Marie Julien et votre serviteur. En comptant les trois qui s’étaient inscrits mais qui ne sont pas venus pour des raisons diverses et très variées, nous aurions pu être quatorze. Quatorze à un Paris-Carnet ! Ça fait des lustres, voire des années que ce n’était pas arrivé !
Soirée bien animée, conversations ininterrompues jusque tard dans la nuit — enfin non, pas très tard finalement, mais bon —, tout le monde est reparti repu et satisfait ! La prochaine fois j’appelle le Prétexte pour réserver, on était un poil serrés hier soir vu le nombre !
Point travaux : La terrasse reprend petit à petit une forme civilisée, et c’est tant mieux :
Voilà qui a meilleure allure, n’est-il pas ?
Et si je me servais du mot du jour, marguerite, pour répondre à la demande de Sacrip’Anne ? Portnawak, en fait marguerite m’évoque invariablement le film avec Fernandel.
1 De Sacrip'Anne -
Suis jalouse et frustrée (mais si, j’aime nos enfants, rhoooo. C’est juste que ça tombe mal, quoi).
2 De Franck -
En fait, faudrait que tu deviennes PDG de ta boîte, comme ça tu pourrais demander à ton secrétaire de venir garder les minots le soir pendant que vous sortez :-)
Fastoche !
3 De Sacrip'Anne -
Huhuhu !
(Nan mais en fait, depuis l’an dernier, c’est le soir où le Lutin est chez nous et le seul qu’il peut passer avec son père. Et une semaine sur deux, c’est la seule soirée qu’on peut passer tous ensemble. Une soirée par quinzaine, c’est pas lourd…)
C’est mal foutu, hein ? Ou alors il faut faire PC chez nous ?
4 De Franck -
Z’avez de la Guinness ? Si oui banco :-)
5 De Gilsoub -
@Franck : Ah ba déjà que certain trouve que le prétexte est difficile d’accès :-)
6 De Sacrip'Anne -
On peut s’en procurer sans peine.