Un petit resto avec les amis, sur le bord du port, avec vue sur l’océan et les bateaux
Plus loin l’île Tristan, qu’on a envisagé un temps d’aller visiter, mais seulement à marée basse sinon le gué est noyé
Et ce bleu, promesse de mers du sud, là-bas au loin
Combien de pirates, de flibustier, de marchands, d’explorateurs sont partis d’ici ?
Douarnenez, pentue, étroite, ramassée sur elle-même derrière les digues, pour se mettre à l’abri des tempêtes qui viennent du large
C’est encore la marée basse et des promeneurs traversent pour aller marcher autour de l’île, au calme
Nous marchons, doucement, vers le port-musée plus loin vers l’intérieur
Les pontons, pourtant récents, montrent déjà l’usure du temps, le craquèlement du bois fait de la place aux algues qui grimpent vers le soleil
En cours de restauration ou flambant finis, ils ne bougeront plus d’ici
Pas plus que ce curieux esquif qui servait autrefois à passer les récifs.