Retour au bureau ce matin, peu de monde, deux personnes moi compris pour l’instant et je n’ai pas l’impression qu’on en attende d’autres, ça va être une journée tranquille, loin de la perceuse à béton de la maison — le ravalement de l’immeuble qui dure depuis un an et demi dure et dure encore, bien qu’ils se soient mis, et depuis pas mal de temps, à bosser aussi le samedi, ce qui d’ailleurs n’arrange rien question quiétude quand on est en arrêt !
Bref, calme et volupté loin de la symphonie de klaxons habituelle du 13e arrondissement de Paris. Faut que j’en profite parce que demain, étant donné que je suis le seul à bosser, je suis tenu de faire du télé-travail (question de sécurité) à la maison, avec symphonie de perceuses à béton et klaxons en ut majeur.
1 De gilda -
Mon ou plutôt mes expériences professionnelles font que je trouve amusant le télétravail contraint. Surtout un 24 décembre. Tant de gens aimeraient pouvoir le pratiquer à qui on interdit d’en disposer.
L’argument me ferait sourire s’il n’était pas tout à fait recevable en des temps si troublés (sans parler d’autres risques, qui pour moi ne sont pas abstraits, j’eus un bureau qui a brûlé et des risques de la santé).
Méfie toi de ne pas faire comme un de mes amis revu hier soir et qui un jour de télétravail a eu une alerte incendie dans son immeuble, est descendu vite fait en prenant juste son téléphone, son manteau et ses clefs … pour s’apercevoir une fois dehors et en bas que dans la précipitation il n’avait pas pris le bon trousseau. Et la personne qui avait le double était en réunion de son boulot à l’autre bout de l’Île de France. Évidemment il était en plein conference call sinon ça n’est pas drôle.
2 De Franck -
Pas de souci, en cas d’alerte incendie, c’est ordi dans le sac, veste, casque et gants de moto, faut pas déconner — surtout que tout ça est plié en moins de temps qu’il n’en faut aux collègues pour se décider à bouger ;-)