Je me crève les yeux dans cette turne ; j’ai affaire à des gredins, à des gniafs, à des galapiats. Je ne peux pas remuer un doigt sans heurter le mur ; les ailes de mon esprit se déchirent à l’ignorance universelle… Sacré mille troupeaux de cochons galeux ! Je retourne à ma vieille cambuse !
, Claudine en ménage
Parfois, j’avoue que l’idée me traverse l’esprit, des fois…
1 De samantdi -
C’est tellement bien dit que ça mériterait d’être appris par coeur pour le ressortir aux susdits !
Des bises.
2 De Cristophe -
Ça a dû te faire un drôle d’effet la première fois où tu t’es aperçu que les ailes de ton esprit se déchirent à l’ignorance universelle.
3 De Franck -
T’as même pas idée, et j’ai pas le début d’une idée de la façon qui convient pour repriser ça, t”imagine ?