Le porte-fringue de la ligne 3

Je me suis souvent demandé à quoi pouvait penser le designer/concepteur des barres de maintien du Tram T3 et m’est avis qu’il ne doit pas souvent le prendre, ce tram, parce qu’il y a un grand espace, entre deux entrées, où on peut se tenir debout mais une seule barre de maintien est disponible, en hauteur — tant pis pour les gamins qui iront se vautrer au premier freinage !

J’ai d’ailleurs le même ressentiment pour les nouveaux abribus de la ville de Paris ; m’est avis qu’ils ne doivent pas souvent le prendre le bus, et encore moins par jour de vent/froid/pluie, parce que les abribus n’abritent quasiment d’aucun élément, ou alors pour une demi-personne seulement ! C’est ouvert à tous les vents, la surface couverte est petite et le toit plutôt trop haut, … Une gabegie.

Bref.

Hier, donc, je rentrais pedibus jambus à mes petons à pied, donc, mais avec les transports en commun, Tram, Métro et Tram, quand, quelques stations après être monté dedans, deux filles sont montées elles aussi avec moult housses de manteau ou de robe, plutôt des robes, à la réflexion, ça n’avait pas l’air de peser très lourd.

C’est alors que j’ai enfin compris l’idée du designer/concepteur qui ne prend jamais le tram, sauf quand il a des robes à emporter sans les froisser en les mettant vulgairement à plat dans sa Jaguar :

Cintres accrochés à la barre de maintien supérieur dans le T3

Il avait tout prévu !

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