Eh oui, après une âpre et dure guerre qui aura duré quelques mois cet hiver et qui aura vu notre victoire définitive, croyons-nous alors, les voilà qui sont revenues. D’abord quelques spécimens que nous avons pris ces derniers soirs pour de vulgaires papillons de nuit venus par les fenêtres ouvertes — canicule aidant — voleter autour des lumières, puis, ce matin, quelques larves bien jolies qui faisaient la course sur le plafond de la cuisine !
J’ai éradiqué tout ce que je pouvais, en gagnant au passage une jolie bosse sur le tibia pour cause de glissade pas contrôlée sur un tabouret fuyant ; il va falloir passer à plus sérieux dorénavant.
Donc, dans un souci de tester toute la gamme des armes disponibles, après avoir usé des trichrogrammes il y a quelques mois, nous allons essayer les pièges à phéromones cette fois.
1 De mirovinben -
Même remarque chez nous : cette année, les mites alimentaires sont bien plus présentes que les années précédentes. Les pièges à phéromones (de ce que j’ai constaté, il existe deux sortes de pièges : un pour mites alimentaires et un pour mites textiles) sont épatants même si plus onéreux.
Parallèlement, le riz, les pâtes et autres aliments qui leur plaisent sont dans des bocaux en verre bien fermés.
2 De gilda -
Même problème chez nous et nous n’avons pas trouvé de solution pour l’instant (mais j’ai un peu tendance à laisser les anti-mites dans les emballages, ce qui manque d’efficacité). On emballe les aliments du mieux qu’on peut et puis on ravaude les pulls.
Je comprends mieux ta photo entrevue tout à l’heure. J’espère que tu n’as pas trop mal.
3 De Gilsoub -
J’ai essayé les boule de naphtaline, mais j’ai laissé tombé, trop difficile à viser, ça bouge tout le temps :-)