Le chemin des écoliers

J’ai fini par mettre le doigt sur le « truc » qui faisait que j’appréciais plutôt mes chemins pédestres quotidiens entre la maison et le garage d’Ida de la Glycine aux Roses — c’est le p’tit nom de ma Bertha —, et je m’en suis rendu compte en croisant hier matin deux écoliers en route vers leur école.

Gamin, j’ai commencé à aller seul à l’école quand j’étais en primaire, en CM1 je crois me souvenir — je devais avoir 9 ans —, et je faisais donc un trajet quasiment équivalent (en réalité un peu plus court en parcours mais probablement aussi long avec mes petites jambes de l’époque question durée, soit une grosse vingtaine de minutes) qu’aujourd’hui.

Je me souviens d’avoir rêvé, comme je le fais aujourd’hui, d’avoir réfléchi tout comme maintenant, et aussi juste marché comme ça m’arrive souvent, spécialement le soir plus fatigué que le matin.

Je crois que c’est ce souvenir, en arrière-plan, qui fait que ne me lasse pas (encore) de ce trajet que je fais depuis plus d’un an…

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