Finalement j’ai changé d’avis en avisant les nuages qui grossissaient hier matin depuis la fenêtre de ma chambre d’hôtel. Un petit message pour voir si je pouvais arriver un jour plus tôt à Toulouse, à l’ami qui me garde ma baleine au chaud et à l’amie qui me garde tout court, et hop, bouclage de valise, enfilage de l’équipement de pluie, règlement du dû et décollage vers le grand Sud-Ouest…
Sous des trombes d’eau, genre hallebardes, avec de la pluie qui mouille, jusqu’au tee-shirt qui s’est humidifié par capillarité. Bref, pas génial, du genre franchement, jusqu’à Albi où j’ai retrouvé un soleil magnifique !
Ensuite, que du bonheur sur les petites routes de campagne jusqu’aux bouchons de sortie de bureau de Toulouse :-)
Pour aujourd’hui, relâche ce matin, au chaud, à remonter l’internet que j’ai pas lu depuis hier matin, et si la météo est à peu près clémente cet après-midi, un petit tour moto dans le Gers, histoire de se dérouiller un peu les neurones !
1 De mirovinben -
Heu…
Aurais-je l’esprit mal tourné à penser que tes neurones se situeraient en dessous de la ceinture ?
Il n’empêche, ta façon de faire est une excellente façon de lâcher prise (à défaut de lâcher le guidon de ta mobylette).
J’ai privilégié longtemps le trempage longue durée dans un bain bien chaud. Sauf qu’à présent, avec une douche à l’italienne, c’est plus difficile. Du coup mes neurones ne lâchent rien, s’épuisent à la tâche et racontent des conneries.
2 De Franck -
Je parlais des neurones du côté qui va bien du cerveau, celui qui engrange les images, les sensations et surtout les odeurs quand le soleil prend la place de la pluie !
Hier (et avant-hier) c’était un régal pour le nez !
3 De mirovinben -
Quand je parlais de neurones en dessous de la ceinture, je pensais à Ida de la Glycine aux Roses, bien sûr. :-)