Micro-entreprise, donc, pas encore déclarée — il faut que je m’en occupe —, avec laquelle je vais pouvoir facturer geekeries, reportages photo, … En attendant j’ai déjà commencé à faire des frais — oui je suis parfois faible — et j’ai donc acheté ce matin une petite extension USB qui pourrait me rendre la vie un peu plus facile avec Lightroom :
Ça s’appelle LoupeDeck, spa donné donné, loin de là, mais ça a l’air plutôt cool !
Je pense que l’achat, antérieur à la création de ma µ-entreprise m’empêchera de compter ça comme frais professionnel, à moins qu’une fois créée, je revende d’occasion cet appareil à Open-Ty :-)
1 De Philippe -
Avec une autoentreprise il n’y a pas de frais professionnels, c’est une comptabilité très simplifiée ;)
2 De Franck -
Oui on me l’a rappelé sur Twitter ;-)
Spa grave, c’était juste si jamais j’avais besoin de me justifier devant ma bonne conscience :-)
3 De Gilsoub -
et… heu… ça sert à quoi ?
4 De Franck -
Ça remplace tous les raccourcis clavier et permet de virer de l’affichage les panneaux de réglages pendant le développement sous Lightroom.
Je concède que c’est un peu gadget, mais bon, YOLO, hein ? :-D
5 De Gilsoub -
Ah ok :-) bon moi je n’utilise LR que pour le catalogage, je développe avec DXO pour le RAW, puis Toshop pour l’affinage (mais DXO pourrait le faire trés bien, c’est juste une question d’habitude !) ;-)
6 De Franck -
Tiens question Gilsoub : DXO c’est du non-destructif ? Et ça reconnait les RAW que LR reconnaît ou il faut passer par du DNG ?
7 De Pep -
Je réponds à la place de Gilsoub puisque je suis de passage : je crois bien que c’est désormais du non-destructif dans la nouvelle mouture DxO Photolab. Mise à jour récupérée, mais pas encore essayée pour ma part.
Sinon, ton truc là, c’est tout de même sacrément lié à Lightroom, non ? Tu ne cherchais pas à changer de crémerie , ces derniers temps ? Et puis, juste histoire d’être pénible jusqu’au bout (oui, j’ai une réputation à tenir, môssieur !) pour (presque) le prix de ton gadget, j’ai récupéré une Wacom Paper 2017, format large. Je dis ça… ;-)
8 De Franck -
Source : FAQ
9 De Pep -
D’ac. Mais ça reste évasif. :-p
Note que mon commentaire précédent sonne plus négatif qu’il ne l’est et oublie le principal : je suis curieux (dans le sens “intéressé”) d’avoir tes premiers retours.
10 De Franck -
Hi hi, je sais :-)
PS : tavu je sais aussi faire de la réponse évasive :-D
PPS : Je ferai un retour si c’est cool, sinon peut-être aussi.
11 De Tomek -
Ça fait penser aux surfaces de contrôle qu’on peut utiliser avec les logiciels audio… Quant au coût, ça n’est pas délirant pour ce type de machine, en fait (toujours en rapport à ce que je connais côté son).
Intéressant en tout cas.
12 De Gilsoub -
Qu’entend tu par “destructif” ? Aucun bon logiciel ne touche au fichier Raw, il en fait forcément une copie dans un autre format (au choix, JPG, TIF,etc…). Ton fichier Raw original ne sera pas touché. Ce qui fait la force de DXO dans la DeRAWtisation, c’est qu’il travail avec des algorithmes basé sur ton couple boitier optique. Il a une base de donné avec quasi tous les optique et boitier du marché (même mon zoom Canon à pompe qui date des année 90 !), et il traite de base ta photo en prenant en compte les défaut connus de ce couple ;-)
Un autre point fort de DXO qui m’a bluffé, c’est le traitement des images prises en basse lumière et haute sensibilité !
13 De Franck -
Ce que j’entends par non-destructif : quand tu appliques un filtre (ou un effet), tu peux revenir en arrière, y compris jusqu’au début.
Exemple : tu cropes/recadres, puis tu bascules en noir et blanc, puis tu ajuste les hautes et basses lumières et tout d’un coup tu te dis : ah non, c’était finalement mieux en couleur, tu peux alors revenir juste avant l’étape de conversion en N&B.
Tu vois ?
LR ne fait aucune copie du RAW (heureusement pour la place sur le disque) et ne conserve uniquement que la liste des opérations successives de développement dans un fichier annexe (xmp).
14 De mirovinben -
DxO est non destructif. Il sait lister les opérations successives de développement dans un fichier annexe au format texte (.dop).
Exporte aux formats DNG, JPEG et TIFF (8 et 16 bits). Ne sait ni lire ni écrire les PNG.
15 De Franck -
Merci mirovinben et je suppose donc qu’on peut revenir pas à pas en arrière dans le développement ?
16 De Gilsoub -
Oui, tu peux revenir pas à pas. Mais pour revenir sur le Raw, je serais étonné qu’un logiciel le modifie un tant soit peu, tout ceux que j’ai vu te sorte un final sous un autre format ; d’ailleurs je n’ai jamais vu un logiciel enregistré au format Raw tout court ! À sa création c’était un format considéré comme un négatif numérique non modifiable autrement que par un “enregistrer sous…” et conversion vers du Jpg, tiff ou autre…
Ceci dit, je sauvegarde les fichiers que je traite en PSD (format Toshop) pour garder calque de réglage et pouvoir revenir sur un traitement plus tard et je sauvegarde ensuite en fonction de la destination ; jpg moyen pour le net, Tiff Full pour les tirages expo…
17 De Franck -
Oui tu as forcément raison Gilsoub, le RAW ne doit pas être modifié (hormis peut-être pour les métadonnées). Par contre il me semble que certains logiciels travaillent sur une copie DNG de l’image, et là ça doit faire mal question place occupée.
18 De Gilsoub -
De toute manière, une image haute qualité non dégradé pése trés lourd !
Une photo en PSD (format toshop) avec deux où 3 calques de réglages c’est du lourd ! Coté format standard, comme je te le disais, quand j’ai besoin d’une qualité top comme pour les tirages d’expos, j’utilise le TIFF non compressé, et là aussi cela fais mal :-) Maintenant, heureusement qu’il y a de gros disque dur. Pour mes photos mon disque actuel est un 2 tera sauvegardé en temps réel sur un deuxième. Et tout les mois j’intervertis le dd de sauvegarde avec un troisième mis à l’abris autre part… Donc 6 tera rien que pour les photos de 2015 à aujourd’hui ;-)
perso le pois n’est plus un problema ;-)