Prévu en fin d’après-midi ; je suis curieux d’entendre la formule qu’aura trouvé mon boss pour, encore une fois et comme les 12 dernières années, me refuser une minuscule augmentation qui ne lui couterait quasi rien vu les baisses de cotisations patronales prévues l’année prochaine :-p
Bref, business as usual
!
PS : L’année dernière il m’avait dit qu’à la place il envisagerait des primes. J’en ai vu une seule passer, d’environ la valeur d’un porte-clés :-)
1 De Da Scritch -
Tu as tellement de compétences et d’expérience, il serait peut-être temps de changer de crèmerie.
2 De Franck -
À plus ou moins six ans de la retraite ? Pas certain que ça vaille le coût/coup !
3 De Sacrip'Anne -
Quand tu y seras arrivé, à la retraite, tu pourras écrire un traité sur les variantes de refus. Ça te rapportera sans doute plus que les entretiens. Courage et force !
4 De Franck -
Hi hi, quand j’y serais, à la retraite, j’aurais probablement beaucoup mieux à faire que de gloser sur ces années passées ;-)
5 De Gilda -
La prime de la valeur d’un porte-clef me rappelle cette chaîne de librairies pour laquelle j’avais travaillé et où j’avais commis l’impair de ne pas remercier pour une prime que nous avions reçue en fin d’année et qui visait à remercier du gros coup de collier collectif de décembre (et de bons résultats). J’étais payé au Smic et travaillais à temps partiel, et en fait cette prime qui représentait un pourcentage d’une mensualité était dans mon cas si faible que j’avais cru à une modification d’une cotis ou la prise en compte un peu mieux que prévue d’un dimanche travaillé, bref, je ne m’étais rendue compte d’une prime qu’en reprenant mes bulletins de salaires au moment de préparer la déclaration d’impôts.
6 De Franck -
Pourquoi ne suis qu’à moitié étonné Gilda :-)