Donc loi d’urgence passé en extrême urgence à l’assemblée et qui casse définitivement ce qui restait de protecteur dans le code du travail. Ça c’est fait.
Après les retraites, le code du travail, il reste quoi ? Devinez ?
Le trou de la sécu, m’sieurs-dames, qu’il va bien falloir combler après toutes les dépenses qui sont indispensables en temps de crise sanitaire, crise qui sera bien évidemment suivie par une crise économique.
Sazkozy nous avait bien malmené, Hollande aussi malgré son « socialisme » bon teint (sic), mais Macron a atteint un cynisme jamais atteint jusqu’alors.
Et pendant ce temps-là, pas de manif’, évidemment, et probablement encore 5 ou 6 semaines confinées, et donc une population sous contrôle serré, le rêve pour le gouvernement.
De plus, songer à supprimer des congés, augmenter les horaires de travail, après avoir vécu le stress et l’anxiété de cette période, sans compter les pertes que chacun comptera parmi ses proches… C’est un sacré coup de poker qu’ils font là-haut je trouve !
En même temps, on a pas le choix, hein ? Donc on va continuer à serrer les dents en attendant…
1 De Philippe -
L’avantage du confinement et des informations en continu, c’est qu’on voit agir les gouvernants et leurs maîtres sans autre distraction, et qu’on a beaucoup de temps pour y penser.
J’ose espérer qu’il y aura un après où leurs fautes seront jugées, mais surtout où les votes seront mieux réfléchis.
2 De lynxxe -
Ce n’est pas le nouveau virus corona qui aura ma peau, c’est celui de la rage.
3 De Bernard -
Sans oublier l’enrôlement volontaire -pour l’instant, au nom de la “solidarité”, pour aller “combattre” sans solde, un “ennemi invisible”, et permettre, une fois la trêve -le nombre de morts fixé par des “spécialistes” atteint, que la “Nation” -l’économie se relève… programmé par un état major retranché -? dans son bunker…
… c’est “capital”
E. Macron