Voilà ce qui relève, depuis tout petit, de la mission impossible : manger de la cervelle ! Répugnant et pourtant je ne suis pas bégueule même si j’ai des goûts sélectifs.
J’ai le vivace souvenir de ce premier déjeuner au premier jour de cette colonie de vacances chez les curés, où, quand le plat principal a été servi, je me suis retrouvé avec de la cervelle dans mon assiette ; envie de vomir à la première bouchée, je n’ai pas fini malgré les promesses insistantes des religieux pour ma vie — ou plutôt mort — future en enfer (j’exagère à peine) :-)
1 De Pablo -
Je te comprends très bien : cette texture !! 🤢 Je crois que, depuis au moins la “vague” des vaches folles, il y a longtemps que ce genre de mets est sorti des habitudes nutritionnelles (?)… Je crois que la dernière fois que j’ai vu proposer de la cervelle dans un menu c’était dans un restaurant de Malte en 1992 : j’étais curieux de récupérer une saveur de mon enfance à laquelle je n’avais plus goûté, et de savoir si, après les années, ma perception en aurait changé (c’est arrivé avec pas mal d’autres trucs qui ne me plaisaient pas quand j’étais obligé de les manger… et il fallait tout finir, c’était comme ça !) ; mais je crois que finalement je n’ai pas pu passer l’épreuve (mon souvenir s’est un peu estompé).
L’illustration sonore est parfaite 👌 (il manque peut-être l’autodestruction de l’objet de répulsion).
2 De Luce C -
MDR ! Mais tellement mission impossible !
3 De Cunegonde -
Un jour que je travaillais dans un restaurant, le chef m’a tendu un plateau remplit de cervelles. J’ai tout laché… Elles ont quand même étaient servies. Beurk
4 De lilou la teigne -
RÉPUGNANT beurk tout a fait d’accord avec toi.
5 De Sacrip'Anne -
Beurk beurk beurk. Je te comprends tant. J’ai eu un épisode de cervelle d’agneau resservie froide à tous les repas jusqu’à l’avoir finie. Vertu pédagogique = zéro. Aversion pour la cervelle : définitive.
6 De Franck -
Zagtly my point!