Encore une semaine de télé-travail, peut-être deux, avant la reprise en régime habituel, assorti cette fois d’un télé-travail négocié deux jours par semaine quand j’aurais souhaité cinq. C’est assez étonnant finalement de constater que la plupart de mes collègues souhaitent revenir en présentiel quasi intégral d’une part, et que la direction a le cul entre deux chaises à vouloir ne pas (trop) freiner cette « révolution » (pour eux) du télé-travail et le besoin de contrôle déguisé sous la forme d’une nécessaire cohésion du groupe (sic).
Ça sera donc trois jours sur place, à faire par conséquent moins de vélo qu’auparavant où je m’échappais entre midi et deux pour m’aérer la tête et où je parcourais largement le double de mon trajet boulot-dodo. Cela dit je pourrais tout à fait aller biclouter le midi aussi là-bas, sauf que l’endroit est largement moins propice à cette pratique dans cette zone largement dédiée à la bagnole et au béton.
Moins de mille.
C’est le nombre de jours théoriques avant mon possible départ en retraite, et je ne parle pas de jours ouvrés ou travaillés, non, mais bien de jours génériques, week-ends et vacances compris.
Largement le temps de faire basculer tranquillement tous les serveurs Mac restant encore en service vers leurs équivalents sous Linux. Ça va m’occuper quelques mois, et je crois que je léguerai la suite à autrui.
J’ai un peu hâte, quand même, d’être à mon monde d’après, d’après le taf !
1 De Gilsoub -
C’est vrai que quand on commence à préparer le monde d’après, on a hâte…
2 De jcehenne -
Je plussoie, le monde d’après se prépare… J’en profite pour saluer ton travail sur Dotclear.
3 De Kozlika -
Si c’est faisable, prendre de temps à autre la fin d’une semaine et le début de la suivante en télétravail offre des perspectives intéressantes tout de même ;-)