Le boss n’a toujours pas compris ou intégré qu’il n’a strictement aucun pouvoir sur ma décision de prendre ma retraite. Dernier épisode hier après-midi où, pendant la messe ordinaire, il a prévenu le groupe que mon départ était acté ! J’ai failli la ramener et puis fatigue… ;-)
C’est tellement hors de sa vision des choses !
Quelques collègues, voyant le temps passer, commencent à s’inquiéter pour la suite…
Première rencontre la semaine prochaine avec une boîte susceptible de s’occuper de la gestion de l’informatique au taf ; bien envie de choisir le plus mauvais, ou le plus cher — sauf qu’ils choisiront le moins-disant, forcément —, voire les deux, juste pour rire ; mais en fait je m’en tape et je suis d’ailleurs déjà (virtuellement) ailleurs !
Je préfère de loin m’occuper de ce nouveau serveur sur lequel j’installe un DNS autoritaire ; ben oui, je m’amuse comme je peux en attendant la quille ; avant de bientôt basculer sur ma nouvelle machine perso et faire un gros ménage des trente dernières années \o/
Je ne vais pas revenir sur les éléments de langage que nous sert le gouvernement depuis quelques jours à propos de la réforme des retraites ; juste je trouve un peu singulier, pour ne pas dire plus, d’envisager la procédure accélérée pour son adoption (article 47.1, soit 50 jours de navette, pas plus), s’agissant d’une réforme de cette ampleur !
Je ne sais pas si les manifs et les grèves à venir y changeront grand chose, vu que le gouvernement n’en a cure, on verra bien.
En attendant la révolution, j’ai entrepris une petite lecture après avoir dévoré trois romans de Becky Chambers : Le Capital de Karl Marx :-)