
J’en suis à deux mètres cubes de fringues et de chaussures, conservées et jamais portées depuis des années, et pas loin de la moitié en boîtes et cartons vides. C’est assez incroyable de constater à quel point on peut entasser en se disant que « ça peut servir un jour … », alors qu’en fait jamais ! Et tout ça va disparaître (donné, recyclé ou jeté) avant le déménagement à la fin du mois.
Plus quelques meubles et objets offerts sur donnons.org qui partent quasi dans la minute où l’annonce est postée, ou peu s’en faut ; ça fait plaisir de voir que ça servira pour une 2e vie ailleurs…
Je me souviens d’il y a longtemps, quand je prenais le train dans mon long trajet depuis le 19e arrondissement jusqu’à Massy-Palaiseau — mon trajet durait à l’époque, pour l’aller simple, une heure quarante-cinq, temps que je mettais à profit pour lire — j’avais alors trouvé un livre laissé sur une banquette dans le wagon, disponible — ou oublié, qui sait — pour la première ou premier intéressé·e. Je l’avais pris, lu, et remis quelques jours plus tard dans ce même train du matin, pour qu’il vive lui aussi une n-ième vie dans les mains de quelqu’un d’autre.
Pour résumer, il n’y a pas que les chats qui ont neuf vies ;-)
1 De tTh -
L’image est-elle une allégorie de l’interpréteur PHP se traçant péniblement un chemin dans la possible instanciation d’une Nième classe découverte au détour d’un fichier rebelle ?
2 De Franck -
Tout à fait ! D’ailleurs on voit bien le pachyderme s’arracher les cheveux en cherchant cette fichue classe de mayrde planquée dans un coin indéfini !