Série - Dyptique de l Auberge

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samedi 3 octobre 2020

Dyptique de l'Auberge - 1

Une idée que Kozlika m’a glissé à l’oreille de Twitter et qui vient à l’origine (je crois) d’Akynou qui nous faisait jouer ainsi il y a quelques années.

Je rappelle les règles :

  1. Un texte, extrait pour cette fois d’un des billets publiés sur le blog de l’Auberge des blogueurs, que vous illustrez comme vous le voulez avec une de vos photos.
  2. Une photo, extraite de mes archives, pour laquelle vous imaginez une histoire.

Vous publiez chez vous, un texte ou une photo, voire les deux et vous me signalez ici, dans les commentaires, ou avec un joli trackback/pingback/rétrolien comme à la bonne époque.

On commence, avec l’idée d’en faire un par semaine[1] ?


Alors aujourd’hui, le texte à illustrer est un extrait d’un billet de Lucien (aka Dissitou) :

Nous avons pris, après un premier café qu’elle m’a servi (!) sous la véranda, beaucoup de temps pour faire le tour des lieux. Visite de tout l’hôtel, des cuisines au grenier, avec pour chaque porte des instructions et une clé.

Et/ou la photo dont il faut inventer l’histoire :

Le temps, Lisbonne, Portugal, oct. 2019
Voyage à Lisbonne

Les joueuses et joueurs de la semaine :

Note

[1] On verra pour la durée.

samedi 10 octobre 2020

Dyptique de l'Auberge - 2

Je rappelle les règles :

  1. Un texte, extrait pour cette fois d’un des billets publiés sur le blog de l’Auberge des blogueurs, que vous illustrez comme vous le voulez avec une de vos photos.
  2. Une photo, extraite de mes archives, pour laquelle vous imaginez une histoire.

Vous publiez chez vous, un texte ou une photo, voire les deux et vous me signalez ici, dans les commentaires, ou avec un joli trackback/pingback/rétrolien comme à la bonne époque.


Alors aujourd’hui, le texte à illustrer est un extrait d’un billet de Paul Dindon (aka Des fraises et de la tendresse) :

Je regarde danser le fer à cheval en cuir censé porter bonheur à la conductrice de la vieille BM qui m’emmène au trou du cul du Jura et je repense au fou rire qui nous a secoués la semaine dernière.

Et/ou la photo dont il faut inventer l’histoire :

La bouée, Nantua, France, juin 2013
La bouée

Les joueuses et joueurs de la semaine :

samedi 17 octobre 2020

Dyptique de l'Auberge - 3

Je rappelle les règles :

  1. Un texte, extrait pour cette fois d’un des billets publiés sur le blog de l’Auberge des blogueurs, que vous illustrez comme vous le voulez avec une de vos photos.
  2. Une photo, extraite de mes archives, pour laquelle vous imaginez une histoire.

Vous publiez chez vous, un texte ou une photo, voire les deux et vous me signalez ici, dans les commentaires, ou avec un joli trackback/pingback/rétrolien comme à la bonne époque.


Alors aujourd’hui, le texte à illustrer est un extrait d’un billet de June East (aka Orpheus) :

Sympa ce cahier et ce stylo laissés dans la chambre par l’aubergiste. Depuis le temps qu’Isaac insiste pour que je tienne un journal, c’est l’occasion de m’y mettre. Isaac est mon agent. Et un agent pour une actrice, c’est comme un psy pour une névrosée. Pas surprenant que je l’appelle Prosaac.

Et/ou la photo dont il faut inventer l’histoire :

Les lunettes, Combrit, France, mai 2013
Les lunettes

La liste des joueuses et joueurs :

samedi 24 octobre 2020

Dyptique de l'Auberge - 4

Je rappelle les règles :

  1. Un texte, extrait pour cette fois d’un des billets publiés sur le blog de l’Auberge des blogueurs, que vous illustrez comme vous le voulez avec une de vos photos.
  2. Une photo, extraite de mes archives, pour laquelle vous imaginez une histoire.

Vous publiez chez vous, un texte ou une photo, voire les deux et vous me signalez ici, dans les commentaires, ou avec un joli trackback/pingback/rétrolien comme à la bonne époque.


Alors aujourd’hui, le texte à illustrer est un extrait d’un billet de Caroline Etienne (aka VéroZéroSept) :

Je longe le lac. Il est magnifique au petit matin. Les brumes de l’aube dessinent des silhouettes à sa surface, je crois deviner un monstre des marais, un vieux camion de pompiers, puis un homme debout sur une barque qui semble déclamer un texte ou chanter à pleine voix. Décidément, la potée comtoise a des effets insoupçonnés (ou alors, c’est le vin jaune).

Et/ou la photo dont il faut inventer l’histoire :

Waiting for customers, Londres, Grande-Bretagne, fév. 2012
Week-end à Londres

La liste des joueuses et joueurs :

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