samedi 14 février 2015

Fragments de poèmes

  • Les communes peuvent limiter le stationnement des handicapés !

malheureusement légaux, dans la législation relative aux places de parking pour personnes handicapées et dans les facilités accordées, Courbevoie a pris la décision de limiter dès à présent la durée de stationnement des intéressés mais, de plus, d’empêcher directement de par le système mis en place les autres handicapés extérieurs à la ville de bénéficier des places réservées et ceci même avec leur carte Européenne.

Ceci veut dire qu’il est inutile à un handicapé de passage dans la ville pour quelques heures de se garer sur une place réservée. De plus, comme nous l’avons mentionné, le fait que bon nombre de villes mettent en place des systèmes propriétaires ( disques de stationnement, télécommandes, clés numériques etc… ) empêche l’intéressé de se garer sur une place qui lui est souvent indispensable quitte à lui faire prendre des risques d’accident sur la voie publique par le fait de mesures municipales trop lourdes voir discriminantes .

Source : Handimobility, via touti

Écœurant !

Il me vient quelques vers pas piqués des vers, justement, à l’attention de ces édiles qui portent bien haut la notion de solidarité qui a conduit depuis des millénaires à ce qu’on s’unisse pour aider les plus faibles d’entre nous.

vendredi 13 février 2015

Au bord de la mer…

Je crains le jour où, cette maison en bord de mer 

L’on me dira que je ne peux plus en jouir

du côté de ma baie, ce petit pied-à-terre

Qui de moi à vous a vu tant de sourires

 

oui ce jour-là, je crois que je pleurerais

des souvenirs d’enfance, des souvenirs d’amours

Tant que j’ai les clefs, amis, j’y retournerais

avec ce secret espoir que c’est pour toujours…

 

 


Et puis du coup j’ai envie de ressortir ces mots déjà publiés ici, parce que je les aimes bien, surement autant que ces murs qui me racontent des histoires…

 

 

 

 

 

Dans l’ombre des murs

Se cachent les pleurs

D’une vieille masure

Qui trop tôt se meurt

 

À l’ombre du mur

 

Se cache mon cœur

Qui rendu trop dur

À l’ombre de ces peurs

 

À l’ombre du mur

 

Se cache le moteur

D’un amour trop mûr

Pour qu’il ne demeure

 

À l’ombre du mur

 

Coulent mes pleurs

Tu cours dans l’azur

Et moi je demeure


 

Ce mois-çi : Serge Reggiani ; la chanson du jour : La maison qui n’existe plus.

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La maison qui n’existe plus

La maison qui n’existe plus me fait invariablement penser à tout ceux qui, régulièrement, s’étonnent qu’on utilise encore aujourd’hui un logiciel comme Dotclear, voire même qu’il existât encore de nos jours, c’est so 2000 disent-ils.

Suffit de faire une recherche sur le terme Dotclear -RT (le -RT pour éviter les retweets) pour s’en rendre compte. Encore ce matin, un gars disait que maintenant LA solution était un site statique + Git + Markdown.

J’hésitais à publier aujourd’hui une nouvelle version de maintenance, la 2.7.4, qui bien que pas foncièrement différente de la 2.7.3 apporte quelques petites corrections qui sont toujours les bienvenues. Et puis sortir aujourd’hui nous donnera peut-être l’occasion de sortir une 2.7.5 avant la prochaine 2.8 sur laquelle nous travaillons en ce moment ?

Logo Dotclear 2.7

Donc c’est décidé, ceux qui utilisent encore Dotclear aujourd’hui devront cliquer 2 fois pour mettre à jour et continuer à bloguer pendant que les hypsters continueront à s’amuser avec leur Git/HTML/CSS/Js/… Et puis je ne peux pas non plus laisser passer un vendredi, 13 de surcroit, ça serait dommage !

Un truc que je remarque tout de même, je n’ai pas encore vu (de mémoire), d’utilisateurs de Dotclear (ou de Spip ou de …) critiquer méchamment ceux qui produisent leur site de façon statique avec Git, etc… Est-ce que Dotclear rend les gens plus tolérants quand on l’utilise ? Si oui alors il faut absolument déclarer Dotclear d’utilité publique !

jeudi 12 février 2015

50 nuances de conneries…

 

Les cons cela osent tout

Disait Michel Audiard…

 

Robert Ménard nous prouve une fois de plus, de manière stupide et ignoble, la clairvoyance de ce dialoguiste de génie….

 

beurk.jpg
 

Et dire que Béziers était une ville où il faisait bon vivre…

 

Ce mois-çi : Serge Reggiani ; la chanson du jour : Le mec odieux.

(374/397)

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mercredi 11 février 2015

Terrain glissant…

Amusant, le mot velours me fait penser au pantalon en velours côtelé de mon enfance que maman achetait à Pantashop ! c’est qu’elle n’avait pas que moi à habiller et les temps n’étais déjà pas si facile ! Moi je rêvais de jeans à l’époque, un 501 bien sûr. Du coup, dans mon esprit, le velours est resté un tissu pour les classes moyennes ou pauvres, un truc solide, mais pas franchement beau…

La soie par contre garde cette aura de luxe, le fin du fin selon l’expression populaire étant de pouvoir péter dans des draps de soie !

Les fameux draps de soie ! Alors j’ai testé pour vous ! La soie, je veux bien en vêtement, c’est très beau à condition de ne pas transpirer, mais en drap, un conseil, évitez ! cela glisse ! Si, si ! et si vous êtes à deux avec velléité de faire un peu de sport en chambre, normalement vous finissez vos exercices sur le plancher ; à moins d’être équipé de chaine, mais là c’est un autre débat…

 

 

Ce mois-çi : Serge Reggiani ; la chanson du jour : De velours et de soie.

(373/397)

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De velours et de soie

De velours et de soie, voilà comment sont d’habitude les deux éponges que j’ai derrière mes côtes, sauf qu’en ce moment c’est plutôt papier de verre et soufflet de forge, genre. Bref, la dame d’hier avait raison de m’arrêter, c’est vraiment pas pour faire semblant la grippe, qu’elle dit forte cette année, que j’ai chopée.

Représentation d'artiste du Big-Bang

Crédit: NASA

Il serait possible, d’autre part et qui n’a rien à voir — sauf que peut-être mais on en sait rien à l’heure actuelle —, que l’univers n’ait en fait ni début ni fin, c’est ballot un peu non ? Comme si on allait voir un film d’Hitchcock après qu’il ait commencé et qu’on reparte du ciné avant la fin, portnawak ! L’article en question et en anglais pour les curieux.

mardi 10 février 2015

Grande marée…

Je ne sais si il y aura du vent, mais de marée sans aucun doute. Le 21 mars 2015 aura lieu la première marrée du siècle avec un coefficient de 119 sur un maximum de 120. 

Pour la prochaine il faudra attendre le 3 mars 2033. Il risque d’y avoir du monde dans la baie du mont St Michel, puisque le marnage sera de plus de 14 m. Entre pécheur et curieux…

Le danger est surtout météo, si marée haute se conjugue avec vent violent, dans certains endroits c’est un grand risque de submersion et de forte inondation.

 

Le samedi 21 mars, c’est à 15h16 que l’eau se sera retirée le plus loin. 

Pour ma part j’y serais à la pêche photographique, je ne veux pas rater cela, parce qu’en 2033, cela fait un peu loin quand même. 

 

Je ne sais pas encore exactement ce que je ferais, cela dépendra un peu de la météo, de combien nous serons. 

 

À ce propos, si l’aventure tente les habitués de ce blogue,et qu’ils n’ont pas peur de camper un peu dans une maison sans chauffage (mais eau chaude ! oui ok pendant 5 min !), c’est avec plaisir que je peux loger quelques personnes.

pho1500047.jpg

Cette photo à été prise cet été lors d’une grande marée de 115…

 

Ce mois-çi : Serge Reggiani ; la chanson du jour : Contre vents et marées.

(372/397)

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Contre vents et marées

Contre vents et marées je repousse à plus tard mais ce matin c’en était trop. Pas moyen de tenir debout plus de deux minutes, et donc pas question dans ces conditions de faire le trajet d’une demi-heure en moto ou celui en transport en commun qui dure une heure et quart et dans lesquels le parcours se fait debout.

Donc voilà, je reste à la maison et je vais voir le marabout-sorcier-guérisseur en fin d’après-midi, et encore une fois je vais avoir droit au remplaçant — je ne crois pas avoir vu ma toubib habituelle depuis plus de cinq ans, et j’ai même oublié à quoi elle ressemble, c’est dire ! —, lequel remplaçant va comme d’accoutumée s’assoir sur ma demande d’arrêt de travail. C’est à se demander s’ils ont une interdiction d’en délivrer, et pourtant c’est pas mon style d’en réclamer.

Bref, si jamais j’obtiens tout de même le papier, ça va être un peu la fête du slip quand je vais du coup demander à la compta du boulot d’annuler les différents congés que j’avais pris cette semaine, puisque un récent jugement indique qu’il ne peut y avoir arrêt de travail et congés payés en même temps. Ça va surement pas leur plaire, là-bas, tellement ils ont la culture du sacrifice pour le travail en mettant tout le reste derrière, ou presque…

Mais bon, ne brûlons pas les étapes, RDV cet après-midi, et j’aviserai ensuite…

Tiens, histoire d’avoir ce qu’il faut sous main, un extrait de Service-Public.fr à ce sujet :

En cas de maladie avant le départ en congés

Le salarié malade avant le départ en congés a droit au report de ses congés payés après la date de reprise du travail. Le report est possible en cas d’absences liées à une maladie professionnelle ou non professionnelle ou un accident du travail.

Les congés peuvent être reportés même lorsque le salarié s’est trouvé dans l’impossibilité de prendre ses congés payés annuels durant la période autorisée.

Les congés payés acquis non pris ne sont donc pas perdus. L’employeur devra accorder au salarié une nouvelle période de congés, que ce soit durant la période de prise de congés en cours dans l’entreprise ou au-delà.

Ce qui correspond à mon cas puisque je n’avais pris que les quatre après-midi de lundi, mardi, jeudi et vendredi et la journée de mercredi. Donc je vais potentiellement, soyons fous et imaginons que je sois arrêté jusqu’à vendredi compris, récupérer 2 jours et demi. Rêvons…

lundi 9 février 2015

Du vent dans les voiles…

Je crois que je n’ai jamais été le petit dernier de la classe, par contre, l’avant-dernier, je ne le jurerais pas !

 

Coté voile, dans la  Barcelona, le petit dernier est un de mes chouchous, je ne sais pas trop pourquoi, mais j’aime bien le hongrois Nandor Fa, un bon marin de 61 ans, avec un bateau qu’il a construit lui même et qui est sur cette course en double a pour coéquipier le jeune Néo Zélandais de 31 ans, Conrad Wilman. 

Et comme en tête il y a un  autre de mes autres chouchous, Jean Le Cam associé à Bernard Stamm pour l’occasion.

 

Sur l’autre course que je suis de près, la Volvo Ocean Race, malheureusement mes chouchoutes, l’unique équipage féminin emmenée par Samantha Davis trust en course la queue de peloton malgré une belle victoire lors d’une des régates  d’escale. Cela m’agace, parce que j’ai parié qu’elle gagnerait au moins une étape, à un sagouin qui me soutenait qu’un équipage uniquement féminin ne peut pas faire le poids sur ce genre de course !

 

Allez, les filles, faites-le mentir !

 

Ce mois-çi : Serge Reggiani ; la chanson du jour : Le petit derniers de la classe.

(371/397)

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Le petit dernier de la classe

Le petit dernier de la classe a été légèrement modifié.

Avant :

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 ) )
( (  .-""-.  A.-.A
 \ \/      \/ , , \
  \   \    =;  t  /=
   \   |"".  ',--'
    / //  | ||
   /_,))  |_,))

Après :

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 ) )
( (  .-""-.  A.-.A
 \ \/      \/ , , \
  \   \    =;  t  /=
   \   |"".  ',.-'
    / //  | ||
   /_,))  |_,))

Voilà :-)

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