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Tu m’accueilles contre toi. Refermes les bras et tangues. Ne risquons-nous pas de basculer ? D’arrière en avant, ne suis-je pas trop lestée ? Un air doux vibre en toi, cela berce nos solitudes conjuguées. Tu me laisses repartir.

La liberté d’un cerf-volant relié à son guide