Il y a deux grands types de négociations : celles où chacun veut préserver quelque chose, et celles où l’une des parties n’a rien à perdre. Dans la seconde catégorie, il existe encore un sous-genre, celui où l’autre partie souhaite absolument conclure la négociation. Si cela vous rappelle des histoires diverses, c’est normal.

Quand on n’a rien à perdre, donc tout à gagner, et que la partie d’en face souhaite conclure coûte que coûte… la négociation tient plus de la boucherie que de la diplomatie. A l’heure où cette note paraît, ma CeT et moi-même sommes en train de visiter un appartement dans l’idée de nous en porter acquéreurs. Chérie a déjà fait une première… Lire Prudence