C’est probablement pour cette raison que l’on fait (ou que l’on ne fait pas) des mômes. Pour revivre son enfance différemment, pour le plaisir de donner le goût de vivre sans doute aussi. Catherine Millet, dans son Enfance de rêve décrit ces gestes initiatiques parentaux mieux que je pourrais le faire.
Et puis en faisant des enfants, on revoit le théorème de Pythagore et d’autres trucs tordus pas toujours compris. C’est l’occasion de refaire l’histoire et de guérir d’une part de son enfance.
La mienne fut heureuse et inquiète.