Les poètes ouvrent les fenêtres. Et les plus grands sont hauts comme trois pommes. Une fillette, de comparer les yeux d’un chat à des bulles de savon. Un garçonnet, de penser que la barbe du matin de son pépé est du sucre accroché au menton gourmand.
Vive les poètes… Tout est poésie autour de nous, si on oublie le reste.