Quand j’étais petite, la saison des vêlages était très concentrée au
printemps ; entre les césariennes et puis les veaux malades, je pouvais
facilement passer deux ou trois jours sans voir mon père à cette époque de
l’année ; il bossait vraiment comme un bourrin. En revanche, l’été et
l’automne, il avait beaucoup de vacances ; même quand il travaillait, ça
ne l’empêchait pas de venir regarder le tour de France à la télé chez mes
grands-parents, l’après-midi.
397 chansons à
prise rapide ?
Aujourd’hui
"Le temps de mon père" de Dalida
148/397 : Le temps de mon père
vendredi 27 juin 2014. Lien permanent