Quand j’étais petite, la saison des vêlages était très concentrée au printemps ; entre les césariennes et puis les veaux malades, je pouvais facilement passer deux ou trois jours sans voir mon père à cette époque de l’année ; il bossait vraiment comme un bourrin. En revanche, l’été et l’automne, il avait beaucoup de vacances ; même quand il travaillait, ça ne l’empêchait pas de venir regarder le tour de France à la télé chez mes grands-parents, l’après-midi.

397 chansons à prise rapide ?
Aujourd’hui "Le temps de mon père" de Dalida