mercredi, 6 novembre 2013

Cochonnerie...

Je suis un amoureux des objets, peut importe, il suffit qu’ils me plaisent !

De tout et de rien, bien souvent juste des brimborions[1] qui s’entassent de-ci de-là…

Quelques-unes me l’ont reproché…

Et pourtant j’en ai jeté quelques mètres cubes…

juste,  pas touche à ma collection d’appareils photos !

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Notes :

[1] Brimborion : Chose sans valeur et sans utilité.

Ondule

J’aurais volontiers parlé de choses tout à fait insignifiantes, d’objets inutiles (et donc indispensables). Las, il n’est point question de brimborion[1] puisque le clignotement alternatif rouge/vert de mon onduleur en lieu et place d’un vert fixe m’incite à passer sans tarder commande d’une batterie de remplacement.

J’ai cherché la commande d’origine de l’onduleur, sans la trouver. Me souvenant que l’achat de l’objet avait fait suite à la destruction par un orage marquant d’un modem adsl + carte réseau, j’en ai déduit que la batterie avait tenu environ 6 ans, ce qui me semble un score assez honorable.

Note

[1] Chose sans valeur et sans utilité

Aujourd'hui brimborion

Je suis exaspéré. Si, si.

Je n’entends parler que d’emploi. C’est devenu l’étalon or, la justification absolue, le fourre tout. Pas une émission, pas un discours politique sans que cela ne dirige les débats. On se moque de l’intérêt des choses, on ne compte que les emplois. Et en plus on compte mal, souvent on ment.

J’ai 45 ans, je suis né en 68, année de certains rêves. Je suis à peine plus vieux que le 1er choc pétrolier, je n’ai entendu au cours de ma vie que des encravatés me dire qu’ils se battent pour la croissance et l’emploi. Et je n’ai jamais connu que le chômage de masse et la décroissance de mon environnement.

[ Jérôme Chain : « Je serais tellement plus utile au chômage » ]

Sommes-nous la plupart d’entre nous que des brimborions au service de…

L’ingénieur qui loue son intelligence au mois pour améliorer les techniques et les résultats financiers d’une entreprise dont les finalités lui sont totalement inconnues se prostitue-t-il moins que la demoiselle qui loue ses charmes à la demi-heure au profit d’un client dont elle ignore tout ?

Albert Jacquart

06/11 : brimborion

Actuellement, je me sens très beaucoup brimborion et ne fais rien pour empêcher ça.

Même pas envie.
Aucune envie.
Rien.

mardi, 5 novembre 2013

Blabla…

Cela dépend des jours, on débat, on discute ou on ne fait que causailler[1] . On échange, on remet en cause voir même on se gausse d’autres. 

Les questions paraissent banales ou au contraire fort aiguisé, les conseils souvent utiles, mais rien jamais n’est jugement, rien n’est définitif…

Du sérieux et du moins, en apparence en tout cas, mais que j’aime ces moments qui me font du bien…

Parler, c’est briser des chaines intérieurs…

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Notes :

[1] Causaille : Parler inconsidérément, avec indiscrétion, à tort et à travers.

À vos doigts

Je ne vais pas causailler.
J’irai droit au but.
J’aurai la réponse pour l’appart vendredi.

La commission se tient jeudi.
Croisez les doigts, pas jusqu’à la crampe
mais quand même.

Break

Je n’ai pas une tendance naturelle à causailler[1] et d’ailleurs je vais faire court : ça fait 2 semaines que je ne parviens pas à finir un billet parfois commencé en tout début de journée.

Je brise enfin le silence[2].

Notes

[1] Parler inconsidérément, avec indiscrétion, à tort et à travers

[2] Pour ne rien dire, c’est brillant

Aujourd'hui causailler

Pas la peine de causailler ce matin, y’a du taf’ sur le bureau, évidemment… Donc non, je ne ferai pas de teasing pour ce petit plugin à venir dans les jours qui viennent, non, non. Et comme disent les perses Une langue trop longue raccourcit la vie. et j’ai encore plein de choses à faire…

lundi, 4 novembre 2013

Nananére…

Avishaï Cohen

« Moi, ce soir, je suis allé voir le très beau concert d’Avishaï Cohen »
Et hop, je me retourne et pars en me panadant[1]
Tralalalalére…

Avishaï Cohen


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Note

[1] Se panader : Marcher avec ostentation, comme un paon.

Aujourd'hui se panader

Aucune raison de se panader dans les couloirs aujourd’hui, c’est une avalanche de mails et tâches nouvelles qui tombent drus depuis ce matin. Et bien sûr chaque demandeur estime sa requête plus urgente que toutes les autres, sinon ça ne serait pas drôle.

Je suis tombé dans l’informatique il y a 33 ans. Et je ne me considère toujours pas comme un « informaticien ».

F. Nonnenmacher, sur Twitter, ce matin

Eh bien pour ma part, je suis depuis longtemps (j’ai touché mon premier clavier d’ordinateur en 1977) l’informaticien du « Toi qui est informaticien… (compléter avec n’importe quoi qui ait un lien direct ou indirect avec un écran et un clavier) », et j’empile un nombre conséquent de casquettes qui m’ont parfois été attribuées sans que je n’ai eu la moindre formation à leurs sujets ; sachant bien sûr que cet état d’informaticien me confère d’emblée le pouvoir de faire dans un temps minimum décidé exclusivement par le demandeur (ie le célèbre « T’en as pour deux minutes »).

Je suis donc (dans le désordre) et de manière non exhaustive :

  • Développeur (tout système, tout langage)
  • Designer et intégrateur
  • Administrateur système
  • Réparateur de photocopieur
  • Webmaster et rédacteur
  • Ingénieur télécom (audio et vidéo)
  • Expert sur toutes les applications et OS (ce qui implique de connaître par cœur tout les manuels et modes d’emploi)
  • Concepteur print (plaquette, affiche, …)
  • Administrateur réseau
  • Réparateur/marabout/sorcier magique à distance

Tout ça sans avoir besoin de faire la moindre veille ou la plus petite formation, évidemment, c’est de l’informatique et je suis informaticien, trop facile. De quoi largement me panader dans les couloirs, n’est-il pas ?

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