lundi, 30 septembre 2013

30/09 : salébreux

A l’écrit, ce mot peut passer, mais à l’oral, ça craint un max.

dimanche, 29 septembre 2013

Vernissage…


Jeudi soir c’était le vernissage de Baie Attitude au restaurant Paprika du lycée Béliard.

Tous les amis étaient là pour voir les photos, boire un verre et déguster un délicieux repas.

Encore merci à vous tous pour votre joyeuse présence et à Ohannes pour les photos

Pas de ahi [1] ce soir là, juste de la douceur et du bon temps ;-)


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Vous avez jusqu’au 17 Octobre pour visiter l’expo ;-)

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Notes :

[1] Ahi : Exprime le sentiment d’une grande douleur.

Aujourd'hui ahi

Pourtant pas de grand ahan hier mais ce matin un ahi bien présent. Parlons-nous de lumbago ? Peut-être, peut-être pas, l’avenir nous le dira…

Puis en cherchant ce matin, ahi, que je n’ai pas trouvé, puis ahan, et encore lumbago, je suis tombé sur ça :

Ysopet n. m. , du latin ysopetus (ysopetae, ysopetam, ysopetorum). Nom donné, au Moyen Age, à des fables ou recueils de fables imitées ou non d’Esope : les ysopets d’Anne de Beaugency, de Charles de Brabant, de Zézette d’Orléans sont parmi les plus célèbres. Avec cet effroyable cynisme d’emperruqué mondain qui le caractérise, La Fontaine n’hésita pas à puiser largement dans les ysopets des autres pour les parodier grossièrement et les signer de son nom. Grâce à quoi, de nos jours encore, ce cuistre indélicat passe encore pour un authentique poète, voire pour un fin moraliste, alors qu’il ne fut qu’un pilleur d’idées sans scrupule, doublé d’un courtisan lèche-cul craquant des vertèbres et lumbagoté de partout à force de serviles courbettes et honteux léchages d’escarpins dans les boudoirs archiducaux où sa veulerie plate lui assura le gîte, le couvert et la baisouillette jusqu’à ce jour de 1695 où, sur un lit d’hôpital, le rat, la belette et le petit lapin lui broutèrent les nougats jusqu’à ce que mort s’ensuive, ce qui prouve qu’on a souvent besoin d’un plus petit que soi. Essayez de vous brouter vous-même les nougats, vous verrez que j’ai raison.

Pierre Desproges, Dictionnaire superflu à l’usage de l’élite et des bien nantis

L’est parti trop tôt !

samedi, 28 septembre 2013

Cyclothermique…

Clic clic, petite étincelle qui enflamme le brûleur. Bluette d’apparat et pschitt, plus rien…

Je ne sais pas si vous avez remarqué, c’est toujours quand vous en avez besoin que la bouteille est vide !

Pff…

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Gaz

Bluette (petite étincelle qui pâlit et s’éteint aussitôt)

Aujourd'hui bluette

Hier j’ai croisé une bluette, fugace, alors j’ai fait une photo, mais elle avait disparu.

Aqueduc

Météorite ? Reflet d’une fenêtre qu’on referme ? Signal d’un espion à son collègue ? Luciole ? À moins que ce ne fut juste dans ma cervelle, allez savoir…

vendredi, 27 septembre 2013

Cyclothymique...



Par les temps qui courent entre certaine bonne nouvelle et d’autres qui le sont beaucoup moins…

Le peu que l’on puisse dire c’est que je suis d’humeur labile[1]  !

Un jour super, le lendemain, ben…

Prise de tête

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Notes :

[1] Labile : Sujet à tomber, à faillir.

Aujourd'hui labile

J’ai bien senti deux ou trois fois l’envie de bien faire devenir labile chez ce garçon qui œuvrait autant qu’il pouvait bien faire pour nous servir à table hier soir. Nous dinions alors dans un restaurant d’application d’une école hôtelière pour faire suite à un vernissage d’un copain photographe.

« Baie attitude » côté jardin « Baie attitude » côté cour

Il faut dire qu’un des profs présents ne ménageait pas ses élèves, maniant l’insulte et l’injure avec une habileté crasse. Du genre « Elle est où la sauterelle ? » en parlant d’une des filles partie chercher quelque chose en cuisine, ou encore « La bouffe ne doit pas coûter cher dans ton pays ! » à ce garçon qui se démenait, plutôt bien d’ailleurs, avec son caramel.

Habillé façon rocker, pantalon de cuir, chemise blanche avec le col grand ouvert, grosse gourmette au poignet, il éructait ici et là à l’adresse des pauvres diables qui couraient dans tous les sens, malhabiles pour certains et pourtant pleins de bonne volonté. On s’est mis à rêver de mettre le quidam dans la situation inverse, un jour, juste pour qu’il constate comment il pouvait être blessant d’humilier ces jeunes en public.

Une civilisation se transforme lorsque son élément le plus douloureux -l’humiliation chez l’esclave, le travail chez l’ouvrier moderne - devient tout à coup une valeur, lorsqu’il ne s’agit plus d’échapper à cette humiliation, mais d’en attendre son salut, d’échapper à ce travail, mais d’y trouver sa raison d’être.

André Malraux, La Condition Humaine

J’ai eu le sentiment, mais sans pouvoir être tout à fait affirmatif, qu’il était raciste, surtout vis-à-vis des noirs présents dans la salle. Par contre je suis certain qu’il est un vrai con.

Constat

Ma mémoire est labile.

Ma participation aux Obsolètes à prise rapide

jeudi, 26 septembre 2013

Merci…


Il faut que je fasse attention, je serais capable de m’acoquiner[1] de ce genre de soirée !

C’est tellement agréable d’être entouré d’amis venus pour célébrer votre travail.

Le vernissage de Baie attitude était un beau moment !

Au risque d’être prétentieux, cela fait un putain de bien !

Alors merci à tous ceux qui étaient là, en vrai et en pensée, c’était une super-soirée pour moi… 

et pour vous aussi j’espère…

Merci !

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Notes :

[1] Acoquiner : attiré par une habitude à laquelle on prend plaisir.

26/09 : acoquiner

J’avoue ne pas comprendre qu’on puisse être attiré par une habitude à laquelle on ne prendrait aucun plaisir. Personnellement j’ai une magnifique collection d’habitudes très agréables car me simplifiant la vie, balisant mon quotidien, n’encombrant pas mes neurones de mémorisations inutiles, faisant que je n’oublie jamais de régler une facture et que j’égare plus que rarement des objets.

Et si je ne les retrouve pas, c’est que j’ai rompu avec une habitude en les rangeant ailleurs. Sans doute pas assez acoquiné sur ce coup là.

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