mardi, 13 août 2013

Joyeux anniversaire Dotclear...

Aujourd’hui, l’on fête les 10 ans de Dotclear qui est devenu mon moteur de blogs préféré depuis 2006.

Avant, je n’y connaissais rien en blog, je faisais comme je pouvais, dans le site internet en HTML, avec tout son manque de souplesse. Le monde des blogs m’intéressait, avec le recul, je pense qu’il me fallait inconsciemment sortir de ma coquille, confronter mes mots et mes photos avec l’extérieur, mais comment faire ?

D’abord j’ai été sur les blogs en ligne fournis clef en main, mais voilà, trop rigide, je ne savais pas faire et je voulais mon look, ma personnalité, mon chez-moi rassurant ! Et puis sans pub, sans contrainte.

Dans un premier temps, je retournais donc dans ma bulle et mes vieilles technologies statiques, sans commentaire, sans interactivité ni réactivité !

Et puis, il ne fallait pas que le code, le langage klingon et autre joyeuseté deviennent mon Schibboleth[1] à moi !

Un ami m’a causé SPIP, j’ai essayé et rien pigé, puis en fouinant sur le Web impossible de passer à côté de Wordpress. J’ai installé. Je ne comprenais pas tout alors j’ai trouvé un forum en Français. Dire que je me suis fait un peu jeter avec l’impression de déranger des copains très bien entre eux n’est pas un vain mot [2] . Oui j’ai souvent des questions un peu iconoclastes, désolé c’est comme cela que travaille mon cerveau. Et puis les rares réponses me renvoyaient vers le site en anglais, et puis en 2006, la version française de WP avait du retard sur celle Anglaise et puis un jour…

Allez savoir pourquoi, sur un blog que je suivais, tout en bas, j’ai cliqué sur « Propulsé par Dotclear ». Enfin un moteur de Blogue français, avec une vraie communauté française, avec des vrais morceaux de gentillesses et d’entraide pour le débutant que j’étais. Installation sans trop de difficulté, personnalisation d’un thème de Franck Paul (Travelogue) qui me disait même comment faire au lieu de protester que je voulais toucher à son Œuvre et mille et une attentions qui fait que depuis le 21 mars 2006, mon galetas à ouvert ses portes !

Me voilà maintenant à aider les nouveaux, et des gens qui ne pigent pas beaucoup plus que moi. J’ai participer à l’aventure de l’ABCdotclear, qui était dans l’esprit de feu « l’école du Mac », ABCDotclear que l’on va reprendre incessamment ; normalement.

De ces 7 ans de Dotclear intensif, j’en retire plein de vraie amitié, de belles rencontres réelles et virtuelles, une grande et belle histoire d’amour, un partage de tous les jours avec les fous qui me lisent, des progrès dans mon écriture et la photo, Sûrement la belle expo que je vais faire ; une drôle de psychothérapie à moindres frais…

Bref, de la vie, de l’amitié, de l’amour…

10 ans c’est l’âge de raison, on va entrer dans les remous de l’adolescence, pourvu que cela se passe bien et rendez-vous pour les 20 ans ;-)

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Notes :

[1] Schibboleth : Difficulté ou épreuve insurmontable qui doit décider sans réplique de la capacité ou de l’incapacité d’une personne.

[2] Je rappelle que c’était en 2006, depuis les choses ont l’air d’avoir quelque peu changé ;-)

Aujourd'hui schibboleth

Schibboleth (שבולת en hébreu), est une sorte de clé, de mot de passe, qui permet de se reconnaître entre gens de même origine, de même histoire, ou qui partagent les mêmes traditions, les mêmes valeurs.

Le shibboleth apparaît dans le Livre des Juges 12:4-6. D’après cet épisode, les Giléadites utilisèrent ce terme pour distinguer leurs ennemis Éphraïmites parmi les fuyards. Les Éphraïmites se trompant sur la façon de prononcer la lettre sh, ils écorchaient là le dernier mot de leur vie…

Lorsque Jephté, chef des hommes de Galaad, eut défait les Éphraïmites et prit les gués du Jourdain, de nombreux fugitifs voulurent traverser le fleuve. « Quand un fuyard d’Éphraïm disait : « Laissez-moi passer », les gens de Galaad demandaient : « Es-tu éphraïmite ? » S’il répondait « Non », alors ils lui disaient : « Eh bien, dis « shibboleth » ! » Il disait « sibboleth », car il n’arrivait pas à prononcer ainsi. Alors on le saisissait et on l’égorgeait près des gués du Jourdain. »

[ source : Wikipedia : « Shibboleth » ]

J’ai découvert ce mot dans un épisode de The West Wing, intitulé « Shibboleth » :

Josh Lyman: Excuse me, Mr. President, what are you going to ask the Chinese refugee?

President Josiah “Jed” Bartlet: I’m going to ask him to say “Shibboleth.”

Leo McGarry: Now, we have laws, and they are difficult and they have to be enforced and it’s right that they’re enforced. But we do not *strut* ever.

Jhin Wei: …faith is the true shibboleth.

President Josiah “Jed” Bartlet: Yes, it is. And you, sir, just said the magic word in more ways than one.

[ source : The West Wing : « Shibboleth » ]

Je me demande si le shibboleth de Dotclear ne serait pas Zizir™ !

10 ans

Petit historique de ma venue à Dotclear...

Je suivais depuis un moment une foultitude de blogs pour la plupart propulsés par Dotclear[1], dont celui d'une certaine Kozlika, partie prenante dans la documentation et la customisation graphique du moteur de blog. Encore tout à fait novice dans l'installation d'un blog autonome qui représentait pour moi une schibboleth[2], je décidai donc en septembre 2005, et après avoir tenu une rubrique "humeur" sur mon 1er site perso d'ouvrir un blog chez Blogger.

Il y a très précisément 6 ans et 7 mois[3], je basculai de Blogger vers Dotclear 2[4] hébergé chez free, à l'époque.

La suite de l'histoire : le thème

Peu après, je poursuivis ma découverte de Dotclear par la personnalisation graphique de mon blog en créant le thème rouge glace que j'utilise encore d'ailleurs aujourd'hui[5]. Je l'ai tout de même fait évoluer, en insérant ici et là quelques bouts de décorations en CSS3 et surtout en utilisant les media queries afin de le rendre plus lisible sur tous les supports, notamment nomades.

Les sites sous Dotclear

Aujourd'hui, j'utilise Dotclear au quotidien pour gérer une bonne partie de mes sites persos, et j'ai réalisé (seul ou avec l'aide d'un graphiste) bon nombre de sites pour des amis & des clients, qui sont très satisfaits de cet outil leur permettant sans effort de publier comme bon leur semble.

And counting

Dotclear 2.5 C'est avec une joie non dissimulée que je célèbre les 10 ans de ce bel outil, qui suite à une sorte d'ultimatum posté début juillet, a vu son développement repartir de plus belle, et pour longtemps, espérons-le !

J'avais envie de plus m'impliquer depuis quelques temps, ce redémarrage m'a permis de concrétiser cette envie. J'en dirai plus bientôt.

Enfin

Pour finir, je veux remercier chaleureusement Olivier de l'avoir créé il y a dix ans, car bien plus qu'un simple outil technique, c'est un grand nombre d'amitiés, d'amours et de clafoutis qui sont nées de ces échanges interblogs. Je veux dire : cet outil rapproche les gens, permet des échanges, des voyages, des coups de cœur[6].

Bref, c'est juste du bonheur de vous connaître, les amis.

Notes

[1] le Standblog, Le Journal d'un avocat, De bric et de blog, Le Monolecte pour ne citer que ceux-là

[2] Difficulté ou épreuve insurmontable qui doit décider sans réplique de la capacité ou de l’incapacité d’une personne.

[3] Oui, étrangement, l'ouverture officielle de mon blog sous Dotclear s'est faite un 13. Coïncidence ? Je ne crois pas.

[4] qui était alors en bêta, et le resta un certain temps, voire un temps certain.

[5] J'ai un nouveau thème dans les tuyaux depuis... trop longtemps. Un jour, sans doute...

[6] Le pays bigouden, au hasard...

lundi, 12 août 2013

Nota bene…

Apostille[1] , je ne connais la signification de ce mot que depuis quelques mois, quand, curieux de comprendre le titre du livre de Michel Onfray « Apostille au crépuscule » j’ai regardé la définition dans un dictionnaire.

Livre intéressant, réponse argumenté aux virulentes critiques suscitées par son « Crépuscule des Dieux » qui lui-même, crime de lèse-majesté en France, s’attaquait à Freud et à sa doctrine centenaire.

Apostille, c’est aussi ma manie d’annoter les livres que je lis. Genre je souligne une phrase qui m’interpelle et je note le numéro sur la page de garde.

Par exemple, dans « Le poisson-scorpion » de Nicolas Bouvier que je lis en ce moment, page 89 j’ai annoté :

« Celui qui parle ne sait pas, celui qui sait ne parle pas »


Apostille au crépuscule
Poisson scorpion

Bref, du coup, il faut que je fasse gaffe quand on me prête un livre !
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Notes :

[1] Apostille : Annotation en marge ou en bas de page.

Aujourd'hui apostille

Il a parfois des régressions surprenantes et décourageantes et je me demande souvent combien de temps ça va encore durer[1].

J’aime beaucoup le doodle du jour chez Google[2].

S’il y a bien un truc qui m’énerve prodigieusement c’est la manie qu’ont certains de commencer des choses et de les laisser en plan, non finies, en attendant que quelqu’un d’autre reprenne le travail[3].

Plage de la Grève Jaune au Guilvinec

Il va être l’heure du 2e café, puis de s’habiller et d’aller inscrire le minot à l’école de voile. Ensuite un aller-retour à Décathlon pour trouver un vélo afin qu’il puisse circuler un peu dans le quartier. J’aimerais qu’il grandisse un peu, alors qu’en ce moment ses peurs enfantines ressurgissent sans trop de raisons évidentes.

Notes

[1] Et je fais souvent des comparaisons avec le temps où j’avais son âge et je mesure l’écart incroyable entre nous deux et il m’arrive étrangement de penser à ce roman lu il y a longtemps « Des fleurs pour Algernon » de Daniel Keyes.

[2] Il est consacré au 126e anniversaire de la naissance d’Erwin Schrödinger ou de son chat, on ne sait pas trop, personne n’ayant encore ouvert la boîte où ils sont tous les deux.

[3] Il y a trois types caractéristiques de personnes, celles qui commencent, celles qui poursuivent, celles qui finissent ; certaines cumulent deux voire trois de ces caractéristiques.

12/08 : apostille

Heu…[1]

 

 


[1]Ici est une apostille.

dimanche, 11 août 2013

Hu dada…

Vous avez déjà observé une course de chevaux ? 

Aujourd’hui il paraît qu’un record sur cette piste a été battu avec une moyenne de 62,4 km/h ! 

D’ailleurs il n’y a qu’à voir comment le jockey  harpe [1]  les rênes pour être certain de rester sur sa monture !

Chevaux

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Notes :

[1] harper : Saisir et serrer avec les mains.

À pleine main

J’ai déjà harper mes bestioles.

Ma participation aux [Obsolètes à prise rapide|http://open-time.net/post/2013/01/31/Obsoletes-a-prise-rapide]

samedi, 10 août 2013

Postéromanie

Grand bien m’en fasse,
je suis assez éloignée
de cette envie.
Je pense que je n’aurais pas fait
une bonne mère.
Je suis trop angoissée pour


Ma participation aux Obsolètes à prise rapide

Aujourd'hui postéromanie

Ah, quel mot, me dis-je en me grattant la … tête. J’ai pensé postérieur, puis manie, et par association logique d’idée je me suis dit que postéromanie ne pouvait vouloir dire que « Amateur maniaque de postérieurs », et je me suis souvenu aussitôt d’un autre obsolète qui ne l’est pas tant que ça d’ailleurs, callipyge.

Des histoires de fesses et de culs, me direz-vous, sauf qu’en fait nous n’en sommes pas très éloigné étant donné la définition réelle de ce mot :

Postéromanie, [n. f.] : L’envie d’avoir des descendants, des héritiers

Toujours est-il qu’il va bientôt être l’heure d’aller poser mon auguste dans ce train qui va nous emporter loin, vers le soleil, la chaleur, les palmiers, et les vahinés bigoudènes !

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