mercredi, 24 juillet 2013
mercredi, 24 juillet 2013.
…Et ne se ressemblent pas. Autant hier j’étais à mon aise avec le mot, je me vautrais dedans avec une aisance coupable, autant aujourd’hui, je ne peux que décliner l’offre d’être ne serait-ce qu’un peu blêche[1].
D’autant que je trouve ça ennuyeux chez les autres. Alors pour moi, vous n’y pensez pas…
J’ai dit non.
:D
Le calendrier des obsolètes (et les définitions des mots).
[1] Faible de caractère
mercredi, 24 juillet 2013.
Si vous me demandiez là tout de go, je vous dirais que suis blêche [1] sans aucun doute !
Et pourtant, certains disent que j’ai du caractère…
On en parlait avec une amie, comment l’on se voit et comment les autres vous perçoivent…
Miroir déformant ; sur les deux faces…
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Venez nous rejoindre, d’autres 366 obsolètes ici[1] Blêche : Faible de caractère.
mercredi, 24 juillet 2013.
Une chose est sûre, aucun des membres de la dream-team ne peut être traité de blèche ! Je dirais même, avec d’autres critères que je ne dévoilerais pas ici afin de conserver le mystère qui doit entourer notre fonctionnement très secret, que c’est un des points majeurs qui peut faire pencher la balance.
L’esprit d’équipe… C’est des mecs qui sont une équipe, ils ont un esprit ! Alors, ils partagent !
, J’ai pas dit ça sur les sportifs
En même temps, on est pas sportifs, sinon ça se saurait !
mercredi, 24 juillet 2013.
Au potager, ma bêche biche devant une côte de bette trop blette
alors qu’une bûche trop moche reste planquée sous la bâche
et qu’une brèche trop bête prouve que ce mur est bien blèche.
mardi, 23 juillet 2013
mardi, 23 juillet 2013.
Il parait que je suis trop bon, mais bon les potes s’est sacré. Quand celui-ci m’a dit qu’il déménageait sur Montpelier J’étais content pour lui. Aller savoir pourquoi j’ai rajouté si tu as besoin d’un coup de main…
Donc demain on part faire un aller-retour sur Montpelier, chacun au volant d’un 20m3.
9 à 10 heures de route, ô joie 
Je suis passé ce soir au chargement des camions, un joli bordel, tout n’était pas prêt, certaines maronnaient dans leur coin, au milieu des cartons pas finis et de meubles pas démontés…
Vu qu’il y avait assez de monde, je me suis lâchement exfiltré des lieux avant que cela tourne à l’orage.
Mercredi départ à six heures. Ce qui me fait peur, c’est que le soir nous ne serons que trois pour tout décharger…
Si vous êtes dans le coin et ne savez pas quoi faire 
Et sinon, retour jeudi à vide…
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Quand j’ai vu ce mot, je me suis dit qu’il ne pouvait pas mieux me définir (hélas). Ah ça, pour maronner[1], je maronne. Bien trop à mon goût, mais encore plus au goût des autres.
Mais j’essaie de me soigner. Zenitude, j’écris ton nom. 
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[1] Exprimer sa colère en marmonnant
mardi, 23 juillet 2013.
Je serais d’avis de maronner ceux qui maronnent pour qu’ils maronnent dans leur coin, pas vous ?
La colère, ça fait vivre. Quand t’es plus en colère, t’es foutu.
Richard , C’est beau une ville la nuit
Cela dit, ça m’arrive aussi, du coup …
mardi, 23 juillet 2013.
Je maronne souvent.
J’exprime aussi ma colère
sans marmonner.
Ma participation aux Obsolètes à prise rapide
lundi, 22 juillet 2013
lundi, 22 juillet 2013.
IRC, je n’avais jamais utilisé, et puis il a fallu que je m’y mette pour participer aux discussions de l’équipe de Dotclear.
Mais grâce à Franck maintenant j’en ai l’usances[1] (et en plus je lui pique son idée pour l’obsolète du jour
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Venez nous rejoindre, d’autres 366 obsolètes ici[1] Usance: Connaissance des usages.
lundi, 22 juillet 2013.
D’aucuns trouveront que je suis assez facilement irritable, et auront sans doute raison. Malgré tout, j’ai une tolérance que je qualifierais de normale aux bruits divers et variés. Surtout que je ne suis pas le dernier. Mais je ne fais pas de bruit : je fais de la musique. Je ne le recorderai[1] jamais assez.
Le bruit donc ; un bruit qui agace qu’on soit à l’extérieur ou à l’intérieur, qui peut durer des heures, qui oblige à se plonger la tête entre des enceintes. Je ronge mon frein d’aller signifier l’usance[2] au voisin indélicat qui, alors qu’il s’affaire autour de sa grosse bétonneuse (qui elle non plus n’est pas silencieuse) n’entend pas - ou feint de ne pas entendre - son chien attaché qui aboie, d’entrain visiblement, souhaitant sans doute participer aux travaux d’un peu plus près. Aboiement qui résonne dans tout le quartier.
Alors monte en moi une certaine envie canicide. Il n’y est pourtant pour rien.
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