Les 366 obsolètes à prise rapide

Journée fatigante, bon boulot, quelques petits agacements et autre contrariété, mais ce n’est pas bien grave. En rentrant, une douche et des œufs au plat, un peu de charcuterie pour le repas. Passionnant ma vie de célibataire, non ?

Et puis, devant mon ordinateur, envie d’un petit remontant, un petit whisky, sans eau bien sûr, si ce n’est juste une goutte, LA goutte fraîche. Truc donné un jour dans une cave de dégustation, juste la goutte d’eau qui va libérer les arômes, étonnants, à essayer. 

Bref, ce single Malt tourbé est une vraie tricoterie ^[1]  qui vous explose en bouche. C’est juste ce qu’il me fallait ce soir !

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Faute d’avoir pu y aller, j’ai suivi aujourd’hui sur twitter grâce aux participants et au hashtag #KiwiParty ladite Kiwi party, conférence gratuite sur une journée se tenant à Strasbourg et organisée par Alsacréations.

Moults tricoteries^[1] se sont échappées des compte-rendus en direct, des slides des conférences… Sans oublier le contenu principal, fort intéressant au vu des présentations disponibles sur le web. Bref, j’ai un peu moins regretté de ne pas y être, c’est déjà ça.

En savoir plus sur les Obsolètes à prise rapide.

Six mois après la crise interne, les militants sont appelés à se prononcer sur la tenue d’un nouveau vote pour la présidence de l’UMP.

[ source : Le nouvel Observateur, « UMP : Le non vote sur le revote, c’est maintenant » ]

Certains y voient surement de la tricoterie, personnellement je vois là plutôt du tricotage d’opinion (interne), parce qu’au final ça ne changera rien du tout là-bas. Magouille & Co, les affaires sortent les unes derrière les autres en rangs serrés, et si pour une fois l’électeur de droite conserve un peu de mémoire il risque d’y avoir quelques surprises aux prochaines élections. Maintenant je me demande si les électeurs traditionnels UMP ne voteront tout de même pas encore une fois pour eux en espérant ramasser une ou plusieurs miettes du gâteau.

Pauvres fous…

Ce soir, ils ont fait les cochons pendant une heure au moins.  Tout sales. Et puis ils ont été se faire doucher, savonner, rincer, sous l’eau tiède.  Plus du tout charbonneux, tout rose pâle. Et puis, ils ont eu soudain le rouge au front.

Je résume : d’abord, des pastels secs. Puis l’eau savonneuse. Ensuite un vernis mi-acajou mi-rubis pour être pimpante demain.

Je me suis bien gabée de vous, hein ?

(gaber : plaisanter, se moquer)

C’est quand même fort de laisser passer la journée sans penser au billet du jour, sinon juste avant le coucher, moment où j’ai balayé la pensée d’un clignement d’œil. Et d’autant plus remarquable qu’il s’agissait de gaudir^[1], ce qui aurait pu se faire, après avoir fêté je ne sais quoi, mais avec les honneurs (hips), répété vaillamment, regardé un superbe film^[2], et découvert par là même une immense chorégraphe.

Pourtant ce matin au réveil, je n’avais aucune envie de gaber^[3]. En même temps, je suis pas du matin (…et j’ai pas d’humour rétorqueront certaines mauvaises langues, ce en quoi je ne peux que leur donner tort, j’ai un humour disons personnel). Mais le matin, à part d’entendre des nouvelles marrantes (euh…), j’ai du mal à me mettre en joie dès le réveil. Il faut que j’y travaille, tiens.

Le calendrier des obsolètes (et les définitions des mots).