vendredi, 14 juin 2013

Alors c'est quoi

J'ai un tantinet[1] hésité pour écrire ce billet. Je ne savais pas de quoi parler, ou ce que j'avais essayé d'écrire ne me paraissait pas opportun. Alors j'ai tout effacé. Alors j'ai décrit. J'écris. Je.

Tu ?


Le calendrier des obsolètes (et les définitions des mots).

Note

[1] Une très petite quantité

Tantinet

Des dizaines de messages s’empilent dans la boîte Outlook jamais ouverte. Et c’est autant de messages déjà lus il y a des années qui renaissent. Plein de fraîcheur et d’humour. Un tantinet lu bouleverse. Vite refermer cette boîte de Pandore.

 

(tantinet : une très petite quantité)


Obsolètes - Aujourd’hui tantinet

Aujourd’hui tantinet (Une très petite quantité)

Certaines personnes ne savent pas écouter, ou plutôt, ne savent pas entendre, ce qui m’énerve un tantinet. Parfois cependant, je crois que certaines choses passent tout simplement bien au dessus de la faculté de perception de ces certaines personnes. Cela, en revanche, est un sujet d’observation ma foi fort intéressant.

14/06 : tantinet

Dire que ce mot fait partie des obsolètes est un tantinet exagéré.

Aujourd'hui tantinet

J’avoue ce matin que je m’étais un tantinet avancé la semaine dernière quand, pas mal de mes connaissances ayant annoncé leur refroidissement respectif (grippe, rhume, …), j’avais dit être passé à travers.

Un genre d’otite du côté gauche hier après-midi, puis sinus gauche pris, les yeux en vrac, la tête aussi, et dans la nuit basculement du côté droit de tout l’ensemble et encore en vrac malgré une potable nuit de sommeil.

Aucun doute, je suis officiellement balade !

Rendez-vous à suivre chez le toubib et en attendant repos à la maison…

jeudi, 13 juin 2013

Encore le bourdon…

Ce serait péccavi [1]  de vous dire pourquoi certains matins comme aujourd’hui, j’ai le bourdon, l’impression de chanceler. 

De vous dire à qui ou quoi je pense. Des amertumes et des regrets, des occasions manquées et des non dits…

Comme sur en fil, cherchant l’équilibre ; tangage…

Et puis les heures passantes, l’esprit passe à autre chose, jusqu’à la prochaine fois…

Bourdon...

Bourdon...

Bourdon...

Bourdon...

(133/366)

Venez nous rejoindre, d’autres 366 obsolètes ici

Notes :

[1] Peccavi : Se dit de tout aveu qui coûte.

Peccavi

Quelle ironie dans la détermination des obsolètes, collant parfaitement à ma vie actuelle…

Mon peccavi n’a servi qu’à peiner les miens.

Les engagements des amis sont comme les coquelicots cueillis en promenade : ils ne tiennent pas et meurent d’eux-mêmes très vite.

 

(peccavi : se dit de tout aveu qui coûte)


13/06 : peccavi

J'ai toujours préféré avouer une faute ou une erreur plutôt que m'embarquer dans des mensonges à n'en plus finir.

Je ne sais pas si c'est par honnêteté, par paresse de devoir monter une usine à gaz qui demeure cohérente quoiqu'il arrive ou par crainte de me perdre dans une spirale infernale et de devoir ajouter finalement un nouvel aveu à la liste des peccavi.

Pour ne pas tromper.
Pour ne pas me tromper.

Aveu

Je vais vous faire
un peccavi, je suis nulle
dans la gestion de l’apparence
d’un blog.

Ma participation aux Obsolètes à prise rapide

Aujourd'hui peccavi

Eh bien il faut le reconnaître Android est un OS plutôt bien réussi. Je l’utilise avec plus de plaisir sur la tablette que j’ai achetée récemment que lorsque j’avais encore mon iPad. Pour un usage quotidien — d’ailleurs ce billet est écrit avec — c’est presque parfait.

Il manque simplement quelques utilitaires, comme Text Expander sur Mac, mais peut-être finirai-je par en trouver des équivalents.

J’avoue que de pouvoir à la fois taper au clavier, utiliser le trackpad ou l’écran et même de pouvoir y brancher une souris, voire un clavier externe, est tout simplement génial.

Parfait compagnon de voyage.

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