Je me demandais ce matin quelle était la nuance exacte du vert très pâle de notre couloir. Ca m’a rappelé le mur céladon du salon de mon enfance, souvent rebaptisé “comédon” parce qu’à cette époque, on jouait beaucoup à faire exprès de remplacer un mot par un autre. Les vulnérables du bridge devenaient, tour après tour, imputrescible, dasyure, dasyprocte… Et le mur céladon, comédon, donc. Évident.
Le nôtre, je ne crois pas. Il me semble qu’il est d’une nuance un peu plus claire.
(Merci Franck pour l’initiative des 366 obsolètes à prise rapide dont le mode d’emploi est ici)