Ce matin il s’est réveillé plus tôt, frisque, plein d’entrain et d’impatience. Nous avons entendu quelques portes claquer, il doit, à l’heure — tôtive s’il en est pour lui le week-end — qu’il est être déjà en train de déjeuner et ne doit pas être loin de s’habiller et de commencer à me demander toutes les trois minutes : « Dis papa, à quelle heure on part là-bas ? », à quoi je réponds alternativement « Quand je te le dirai » ou « Vers onze heures, onze heures quinze ».