J’ai eu plusieurs fois l’occasion de me déplacer à écorche-cul. Souvenirs heureux ou malheureux, c’est selon. Comment ça ?

Une fois, je n’étais plus sûre de moi, j’avais trop peur, on m’a rattrapé par la taille. Et je n’ai plus bougé

Une autre fois, j’avais une jambe en miettes et les miettes étaient conglomérées par des fiches de métal hurlant. Alors je me descendais les escaliers ainsi, partout, des mois et me redressais sur les béquilles ensuite et drop !

Et puis, j’ai fait du tapecul avec mon frère en 74. Tous deux dévalions sur un carton les flancs d’une descente abrupte. Rires complices.

 

(à écorche-cul : en glissant, en se traînant sur le derrière)