Je regarde cette semaine impollue [1] avec l’oeil torve de qui serait bien restée au lit.
Ou en tout cas à la maison. Ou en tout cas pas au bureau.
Mais bon.
Au moins on y était attendus chocolatement.
Et y a des jours comme ça, où tout en restant lucides sur la relation employeur / employés en ce 21e siècle, je me dis, le mien, il est très loin de la perfectitude, mais il a du savoir vivre, au moins un peu
(et puis contente de l’ajouter au butin des enfants)
Note
[1] Sans tache, non souillée