Assoter, c’est à dire s’enticher d’une ridicule passion. J’avoue que le mot d’aujourd’hui me laisse pour le moins perplexe. Je cherche depuis ce matin comment je vais bien pouvoir parler de quelque chose qui susciterait un assotement de ma part, mais franchement j’ai du mal à voir.

À moins que, par exemple, je ne finisse par commander l’intégrale de Yoko Tsuno de Roger Leloup, BD que j’adorais quand j’étais jeune et qui me plaît toujours autant.