Nous avons croisé un avocat algérien hier-soir au rassemblement anti-homophobie sur le parvis de l’hôtel de ville, à Paris. Il écorniflait, ici et là, en expliquant qu’il avait choisi de quitter son pays parce que l’homophobie qu’il subissait là-bas était bien pire qu’ici, qu’il avait été emprisonné. Il nous a dit qu’il espérait qu’il serait mieux accueilli, ici, en France et on lui a répondu qu’on faisait notre possible pour que ça puisse être le cas.

Mais ce n’est pas encore gagné !