J’ai la fâcheuse turlutaine[1] de ne jamais avoir envie d’aller me coucher (tôt), et ce depuis trèèèès longtemps. À part bien sûr quand je suis très fatigué, tellement que je n’arrive pas à rester devant un écran. Je ne suis pas affidé[2] quand il s’agit d’annoncer l’heure du coucher qui rarement correspond à la réalité.
Ce soir-même, une épée de Damoclès me menace, il faut que je rédige vite, j’espère que vous me pardonnerez si je ne suis qu’un gâte-papier[3], que dis-je, un piètre scribouilleur.
Cela dit, j’ai toujours eu envie de rebéquer[4], ce soir ne fait pas exception[5]. J’ai un exemple en tête qui me revient, à l’époque où je n’étais qu’un jeune enfant bien nice[6], au caractère déjà affirmé. J’avais subi l’affront d’une injustice - du moins est-ce ainsi que je l’avais ressenti à l’époque - de la part de mon instituteur, auquel j’avais osé dire devant toute la classe : Va te faire cuire un oeuf…. sur le plat !
Il en était resté interloqué, et j’avais eu mon 1/4 heure de gloire à la récré suivante, moi qui étais pourtant si sage et timide d’habitude.
J’ai depuis tenté de calmer ce bouillonnement qui surgit parfois…
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Promis je reprends un rythme quotidien demain, là ça frise l’indigestion… burp.