Je connais un moment sade, que j’expérimente tous les soirs. Vous savez, ce moment délicieux où, alors que vous venez juste de vous allonger sous la couette, vous relâchez doucement toutes les tensions du corps.

C’est divin !

Lorsqu’un théâtre fait relâche le souffleur prend congé comme tout le monde, ça lui permet de souffler un peu.

Philippe Geluck, Le chat a encore frappé

Et alors le souffleur, là-haut, sous le crâne dur, peut enfin rêver…