Il faut de la patience, avancer les pions un à un, doucement, sans rien brusquer. Les ingrédients sont présents, à disposition, reste à les mettre en œuvre.
Recadrer de manière bienveillante, lui fixer les limites dans lesquelles il a fini par prendre toute sa place et évoluer, s’ébattre enfin.
Et hier enfin, le grand jour, il a passé une grande marche, une grande étape. Se débrouiller, seul, comme les autres. Je suis fier de lui et lui ai dit. J’ai senti à distance le frémissement de contentement dans son cœur !
Voilà. c’est parti…