Le passage vers la mer


Le passage vers la mer

Parfois je préfère rester derrière, derrière la barrière qui longe l’espace libre, soumis aux éléments. Parfois cette barrière n’est qu’illusion, tellement frêle et fine qu’elle ne protège de rien, même pas du vent.

Gris et blanc

Alors finalement je passe devant et je m’assied, là, pour contempler les mouvements, les couleurs et les lumières.

Paraboles très symboliques et figurées pour dire qu’après la stupéfaction, la colère et la peur il faut agir, entreprendre et se mouvoir sous peine d’être ensablé, isolé et finalement fossilisé.

Il m’aura fallu un peu plus longtemps qu’à l’accoutumée… mais je suis bien entouré.

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