Ils étaient nombreux ce jour là, à entrer, à sortir, à décoller parfois, à glisser et à tomber.
Le blanc était la couleur d’alors, mouillé nuancé des reflets du ciel et des gens.
Le souffle, partout, dans le métal, dans le tissu, dans les poumons, dans l’air au dessus des vagues.
Comme autant de petits cailloux, de ceux de la Baie d’Audierne, précieux.
Ils étaient nombreux ce jour là, à défaire et à ranger, à descendre et à monter.
Et j’observais la vie des gens…
1 De mirovinben - 04/07/2013, 06:40
J’aime tout particulièrement et surtout les photos…
n°2 : très intrigante et très dynamique, on sent bien le vent.
n°3 : drôle. On imagine l’engin esseulé source du vent
n°3 : ma préférée, elle me rappelle un pas japonais dans un jardin minéral