Pourquoi ?
Pourquoi un seul, petit, juste au bord du rivage, alors que d’autres pullulent en face, de l’autre côté du lac ou derrière, en remontant la pente ?
Ou alors ?
Ou alors c’est un privilège, accordé à un seul, celui de pouvoir contempler sans être dérangé, l’étendue de ridules ?
Mais en fait ce n’est rien. Rien de tout ça. Juste un coin, là, pour s’adosser et penser, regarder, réfléchir et se poser.
Un coin à marquer d’une pierre blanche.
1 De laluneindigene - 29/07/2013, 22:32
Joli. Et ô combien méditatif…